Tout au long des Jeux Olympiques de Rio cet été, 2m.ma vous fait découvrir chaque jour une histoire, une anecdote ou une performance mémorable qui a marqué l'histoire des JO. Moscou, 1980 Nous sommes en plein milieu de la guerre froide. Le président américain Jimmy Carter décide de boycotter les jeux olympiques qu'accueillera la capitale de l'URSS afin de protester contre l'invasion de l'Afghanistan par les soviétiques en 1979. Une cinquantaine de pays suivent l'exemple des Etats-Unis, dont notamment la république fédérale d'Allemagne (RFA), le Japon, le Canada et la Chine, mais également le Maroc. Les jeux sont quand même organisés dans une ville sous sécurité renforcée, et 36 records du monde sont battus. La réplique ne tarde pas. 1984, les jeux olympiques sont organisés à Los Angeles, aux Etats-Unis, et sont, naturellement, boycottés par l'URSS. Officiellement, l'Union Soviétique se dit inquiète pour la sécurité de ses athlètes. Plusieurs pays communistes suivent, notamment la République démocratique d'Allemagne (RDA) et Cuba. Ces jeux seront non seulement marqués par l'absence des pays communistes, mais seront également pour la première fois, exclusivement financés par le secteur privé. Le bénéfice pour le comité d'organisation sera estimé à près de 150 millions de dollars. L'absence des athlètes soviétiques était, néanmoins, une aubaine pour plusieurs sportifs qui ont pu briller pendant l'édition de Los Angeles. L'Américain Carl Lewis était l'un des athlètes les plus en vue lors de cette édition où il a remporté quatre médailles d'or.
Quand Barcelone a organisé des Olympiades populaires antinazies Quand une chute a volé l'or à Hicham El Guerrouj Quand la moustache de Mark Spitz est devenue une légende olympique