L'exécution de la Loi de Finances au terme du premier trimestre 2010 s'est soldée par un déficit budgétaire de 4,5 milliards de dirhams. Cette situation est attribuable d'une part, à la baisse des recettes fiscales, sous l'effet de la baisse des recettes des impôts directs, notamment l'IS et l'IR et, d'autre part, à la hausse des dépenses ordinaires suite à l'augmentation des dépenses de compensation et de celles des biens et services.