A fin mars 2022, Cosumar a réalisé un chiffre d'affaires consolidé de 2.486 MDH, en hausse de + 26 % par rapport à la même période de l'année précédente. Cette performance est tirée essentiellement par la croissance du chiffre d'affaires à l'export. Les volumes des ventes à l'export s'élèvent à 195.000 tonnes à fin mars 2022 contre 117.000 tonnes à fin mars 2021. Les préparatifs de la campagne sucrière 2022, marquée par la sécheresse, les retards de pluie et le faible niveau des barrages, se sont déroulés dans des conditions difficiles. La forte mobilisation sur le terrain de l'ensemble des équipes amont agricole et des partenaires agricoles et institutionnels de Cosumar a permis de déployer des efforts importants et ce afin d'atténuer les effets du déficit pluviométrique. Les dernières précipitations ont eu un impact positif sur le développement de la culture sucrière notamment la betterave à sucre dont la campagne d'arrachage est prévue à partir du deuxième trimestre au niveau de l'ensemble des périmètres. Les mesures sanitaires contre la propagation de la pandémie du Covid-19 ont été maintenues dans l'ensemble des sites du Groupe dans le respect des directives des autorités sanitaires. Au terme du 1er trimestre 2022, Cosumar a réalisé un CA consolidé de 2.486 MDH contre 1.974 MDH au 31 mars 2021. L'endettement net s'établit à -174 MDH à fin mars 2022 contre 403 MDH à fin décembre 2021. Les investissements comptabilisés s'élèvent à 60 MDH à fin mars 2022, et concernent principalement la poursuite des mises à niveau et la maintenance de l'outil industriel. En termes de perspectives, le Groupe Cosumar concentrera ses efforts durant les campagnes cannières et betteravières, perturbées par les conditions climatiques exceptionnelles et un environnement international difficile, et mettra en œuvre tous les moyens nécessaires pour l'accompagnement de ses partenaires agriculteurs. Le Groupe continuera de mettre en œuvre tous les moyens pour assurer un approvisionnement normal du marché malgré les conditions climatiques difficiles et un marché international marqué par une flambée des prix des matières premières.