Ce mardi, Mark Zuckerberg a démenti vouloir devenir président des Etats-Unis. Le big boss de Facebook a en effet répondu d'un simple »non » à BuzzFeed, qui lui demandait s'il envisageait de se présenter un jour à l'élection présidentielle américaine. Plusieurs signes avaient conduit les observateurs à prêter au jeune milliardaire des ambitions politiques. Premier indice, datant d'avril 2016 : un changement dans les règles s'appliquant à l'équipe dirigeante de Facebook, stipulant que Mark Zuckerberg pourrait garder le contrôle de l'entreprise pendant une période allant jusqu'à deux ans « dans le cas où il serait nommé à un poste de responsabilité gouvernementale ». Le dirigent de 32 ans s'est fixé un objectif qui a tout de la tournée de campagne électorale avant l'heure : visiter chacun des Etats américains pour y rencontrer un maximum de citoyens. Le génie de l'informatique s'est également entouré de photographes, modérateurs et autres professionnels des réseaux sociaux pour peaufiner son image publique. Pour rappel, il avait également indiqué préférer construire des ponts plutôt que des murs, en référence au projet du nouveau président américain. Et avait notamment pris position contre les déclarations hostiles aux musulmans de Donald Trump.