Facebook est accusé de censurer certains Républicains aux Etats-Unis. La manière dont il hiérarchise les informations est mise en cause. La polémique enfle à quelques mois de la présidentielle américaine. Le big boss du géant bleu, quant à lui essaye au maximum d'éteindre cette polémique. Le plus grand réseau social du monde (1,6 milliard d'utilisateurs) est soupçonné d'avoir sciemment choisi de ne pas mettre en avant des contenus et des thématiques conservatrices D'anciens salariés affirment que le réseau social « choisit d'écarter délibérément les commentaires conservateurs. » Un éditorialiste Républicain raconte, lui, qu'il a été censuré, sa page ayant été rendue inaccessible durant plusieurs heures. Facebook serait donc une « vitrine libérale, reflétant les convictions de son créateur qui organise des levées de fonds pour Hillary Clinton et a pris position contre Donald Trump. » Mark Zuckerberg se défend en déclarant :'' On est dans les mathématiques pures. Des algorithmes déterminent la popularité des tendances. Simplement parfois des textes sont bloqués en attendant que les contenus soient examinés (…) Si nous trouvons quoi que ce soit de contraire à nos principes (…) nous prendrons des mesures supplémentaires pour y remédier''.