La journaliste est accusé nommément sur Twitter de tenir des propos dégradants et injurieux. Son message a été condamné par les internautes. Javier Otazu, ancien chef du bureau de l'agence EFE au Maroc, a déclenché une petite polémique avec un tweet faisant allusion au poste-frontière de Zouj-Bghal, situé à quelques kilomètres d'Oujda, dans le nord-est du Maroc. Commentant à mots-couverts les dernières tensions entre Rabat et Alger, le journaliste espagnol, actuellement installé à New-York, a décrit les deux pays comme «deux mulets». Un jugement plus qu'une boutade, ou plutôt l'expression de sa propre aigreur contre le Maroc que d'une opinion critique raisonnée. Son tweet indélicat a été commenté et décrié par plusieurs internautes. Cette indélicatesse, commise par une vieille botte, manquant de toutes parts, forme et fond, sacrifiant l'originalité aux intempérances de langue et aux excès de plume, amuse plus qu'elle ne déplaît. D'un décapité de l'honneur, pourquoi ne l'enterrerait-on pas ? Nul mention à un journaliste qui n'a jamais été dans la vérité, mais à côté de la vérité et tout à fait en dehors d'elle. Comme ses acolytes sulfureux, Ali Lmrabet et Ignacio Cembrero, descendus jusqu'à ce degré de mauvais goût qui consiste à écorner la déontologie journalistique. A présent qu'il est installé Outre-Atlantique, l'ex correspondant de @EFEnoticias sous nos latitudes se permet d'injurier le #Maroc en le qualifiant de "mulet"! Recobraste la "valentia" en tu despacho neoyorquino? #Miserable#قطعتي_الواد_و_نشفو_رجليك https://t.co/n1jUjEtOkX — Amal Baba Ali (@amuleta) November 4, 2021