Les Vénézuéliens ont franchi la frontière colombienne, qui a été ouverte temporairement pour leur permettre de s'approvisionner en produits de première nécessité, notamment, (nourriture, médicaments, savon, papier toilette). Certains ont roulé des heures pour arriver jusqu‘à la frontière de la Colombie où les produits coûtent plus chers, en raison de la dévaluation du bolivar vénézuélien. "On n'a pas de nourriture, pas d'huile, pas de farine au Venezuela. C'est la raison pour laquelle on vient ici'‘, ont déploré certains. Selon Bogota Plus de 35.000 Venezueliens auraient profité de cette ouverture temporaire de la frontière pour venir faire leurs courses en Colombie.