Se laver les mains avec de l'eau c'est bien, se les laver avec du savon c'est mieux. A l'occasion de la Journée mondiale du lavage des mains, Unilever Maghreb, à travers sa marque de savon antibactérien Lifebuoy, a organisé une opération de sensibilisation à l'hygiène des mains dans les écoles primaires. En effet, pour la célébration de cette journée, 100 employés d'Unilever sont partis à la rencontre de 3.000 enfants dans les écoles de Sidi Bernoussi et de l'association Espod, point de départ, afin de les sensibiliser à l'importance du lavage des mains au savon. Le programme de la journée s'est fait en 3 étapes : Session éducative théorique : A travers un cours interactif pour apprendre aux enfants pourquoi se laver les mains au savon, quand et comment se les laver. Session pratique : Pour montrer l'importance du savon, une démonstration comparative (lavage des mains à l'eau seulement vs lavage au savon) a été proposée aux enfants afin de leur prouver, de manière concrète, l'action du savon contre les bactéries. Engagement : Sur une toile offerte à chaque école, les enfants ont laissé l'empreinte de leur main, signe de leur engagement à se laver les mains au savon et à répandre le message dans leur entourage. D'après les chiffres sur la mortalité de l'enfant publiés le mois dernier par l'Unicef, quelque 2.000 enfants de moins de cinq ans meurent, chaque jour, de maladies diarrhéiques. La vaste majorité d'entre eux -soit environ 1.800 enfants- succombent à ces maladies du fait du manque d'eau salubre, d'assainissement et d'hygiène de base. Bien que ce chiffre ait considérablement diminué depuis le lancement de la Journée mondiale du lavage des mains il y a cinq ans, l'Unicef affirme qu'il demeure trop élevé. Ces chiffres effrayants sont susceptibles d'être réduits de moitié à la condition sine qua non d'opter pour un mode de vie hygiénique en se lavant plus régulièrement et convenablement les mains. Bien que ces «conseils» semblent s'adresser plus principalement aux enfants, lesquels représentent le véritable vecteur de changement, toutes les sociétés sous toutes leurs tranches sont concernées. Quand on sait qu'on attrape des bactéries et des virus même en ayant les bras croisés, cela suffit largement pour se dire que combattre les germes n'est plus un choix mais une obligation.