Suite à la publication dans notre édition du 22 septembre dernier d'un entretien avec Patricia Gouy sur l'affaire du vaccin Engerix-B, nous avons reçu les précisions suivantes de la part de l'interviewée : «Je suis aide médico-psychologique victime du vaccin Engerix B, tout comme le petit Achraf Dewane. Je me suis rendue à Casablanca le 19 septembre dernier pour soutenir la famille Achraf et pour apporter des documents médicaux aux avocats d'Achraf pour démontrer qu'il existe bien un lien de causalité. Je souhaiterai qu'il paraisse dans la presse, que mon action est indépendante et que je ne suis soutenue par aucune association. J'étais adhérente au REVAHB depuis mai 2005 et je suis actuellement exclue, car la presse marocaine a écrit que j'étais le porte-parole de l'association des victimes alors que j'avais dit que j'étais adhérente et bénévole pour les victimes. La présidente me menace d'usurpation d'identité car elle pense que je me suis faite passer pour la présidente de l'Association. L'affaire a une telle importance que le poids des mots est lourd de conséquences et je me vois pénalisée ce jour pour vouloir apporter mon soutien à une victime du vaccin HB. Les pressions sont très importantes en France. Merci de rectifier et de préciser que je suis aide médico-psychologique victime du vaccin HB et que je ne suis pas représentante d'association, mais indépendante.»