Le journaliste du quotidien français «Le Monde», en rupture de ban avec la direction de sa rédaction, est de toutes les affaires montées de toutes pièces contre le Maroc. De l'investigation à la manipulation, il a franchi allègrement le pas. Il pose aujourd'hui un grave problème de déontologie à la profession qu'il prétend exercer. Jean-Pierre Tuquoi, c'est officiellement le journaliste du quotidien français «Le Monde». Mais l'intéressé dépasse toujours les limites professionnelles quand il s'agit du Maroc, dont il a fait une spécialité, ne ratant aucune occasion pour présenter le pays sous un jour peu flatteur avec des commentaires qui respirent la haine et le ressentiment. Alors qu'est-ce qui fait courir Jean-Pierre Tuquoi ? Certainement pas le devoir d'informer, que tout journaliste qui se respecte exerce dans le respect de la déontologie. Pour preuve, il est de toutes les affaires foireuses de ces dernières années. L'affaire du capitaine Adib, c'est lui. L'imposture du Comité des officiers libres c'est encore lui. Dans ces deux faux scandales fabriqués de toutes pièces, le nom de ce rédacteur du Monde était présent. Comme par enchantement. On le retrouve aussi dans le dossier trouble de Hicham Mandari, où il a joué, selon les déclarations de l'ex-épouse de Mandari, un rôle central depuis le début avec des allers-retours fréquents entre la France et les États-Unis. Le journalisme d'investigation ? Voire… On passe son temps à inventer des histoires abracadabrantes, à créer des pseudo-opposants en mettant à contribution des provocateurs nihilistes locaux. Nous sommes en face d'une nébuleuse qui ne recule devant aucun obstacle pour arriver à ses fins. N'est-ce pas Tuquoi qui a affublé l'escroc assassiné en Espagne d'un titre de conseiller spécial de feu S.M Hassan II alors qu'il s'agissait d'un gros mensonge ? Outrepassant son rôle de journaliste, il a fait preuve d'un activisme douteux auprès de Mandari et de sa femme qu'il a pressée de questions dans le but inavoué qu'elle valide son livre intitulé “Le dernier Roi, crépuscule d'une dynastie“, “sourcé“ ailleurs, chez ses informateurs en rupture de ban. Un livre plein d'intox et de contre-vérités où il déverse, comme d'habitude, son fiel contre le Royaume. Où est le journalisme dans les écrits de Jean-Pierre Tuquoi ? En fait peu de journalisme et beaucoup de manipulation.