Le jeune Marocain en grève de la faim dans une prison de New Mexico, aux États-Unis, depuis le 23 mai 2002, a sombré, dans la nuit de lundi à mardi, dans le coma. Le jeune Marocain en grève de la faim dans une prison de New Mexico, aux États-Unis, depuis le 23 mai 2002, a sombré, dans la nuit de lundi à mardi, dans le coma. Accusé par son ex-femme, Cecille, de terrorisme, Tarik Brahimi, professeur dans une école américaine a toujours réfuté ses accusations. Pour lui, il est victime d'un règlement de comptes de la part de son ex-femme. La famille de Tarek qui a envoyé des lettres aux organisations internationales des droits de l'Homme, au ministère des Affaires étrangères et à la Fondation Hassan II pour les MRE, attend des initiatives pour sauver son fils. Une organisation américaine des droits humains a pris la défense de Tarek. Le FBI qui a interpellé le jeune Marocain en a décidé autrement. L'audience est prévue pour le 12 du mois courant et jusqu'à son dernier contact avec son avocat, avant de ne perdre connaissance, Tarek ne voulait pas rompre sa grève de la faim, parce que selon lui, les enquêteurs américains ne lui ont pas notifié d'acte d'accusation et qu'ils se sont basés sur les allégations de son ex-épouse pour décider de le poursuivre en justice.