Or, le jour même où je l'avais commis, c'est-à-dire dimanche (oui, en effet, j'écris toujours mes articles la veille, mais ça, vous le gardez pour vous) il y a eu plusieurs événements plutôt tragiques liés aux intempéries : M. Benkirane a passé un très mauvais quart d'heure dans l'avion qui devait l'amener à Oujda, et un oued dans le sud a connu une crue avec des suites dramatiques et desquelles M. El Khalfi a échappé de justesse. Vous n'allez pas me croire, mais je vous jure que je n'y suis absolument pour rien. C'est vrai, on me dit chrif et tout ça, mais je n'ai jamais souhaité du mal à mes prochains, et encore moins à notre chef de gouvernement et à son porte-parole et ministre de la communication. D'abord, j'ai toujours eu des rapports très courtois et parfois même très sympas avec l'un et l'autre (ça aussi, il ne faut le dire à personne). Et puis, pourquoi en vouloir à des gens qui bossent pour nous, même le dimanche ? En tout cas, je ne vais plus plaisanter avec ces choses-là. Promis ! A demain