Notre voisin de l'Est perd le Nord, depuis que l'Ouest Atlantique le rend fou de rage pour un Sud marocain, de plus en plus, inaccessible. Sa diplomatie, ringarde et désuète, finit enfin par prêter le flanc, face au mirage convoité, sans succès, sinon que de verser dans la dérision la plus humiliante. Le canular est bassement démasqué, au grand jour, aussi bien en interne qu'en externe. Cette hideuse ratatouille de son président désemparé, a encore dévoilé l'état d'esprit d'une junte militariste chancelante, à l'image de son pantin moribond.Sans vergogne ni scrupule, ce vil «sieur» téléguidé s'en est pris, chaque fois,à notre pays pour passer sous silence la déroute du sien dont les chimères s'effritent tel un fétu de paille. En fait, comment pourrait-il admettre une telle désillusion, après avoir vécu, des décennies durant, dans la folie des grandeurs, au cœur de l'opulence des hydrocarbures ? De crainte de se faire épingler par des faillites certaines, il n' y a plus d'autre issue que d'emprunter cet abject quolibet contre la réussite marocaine, en diffamant ces prouesses. Malheureusement, cette manœuvre ignoble qui tente de défigurer les rapports de cordialité et de coopération qui lient le Maroc aux pays africains, confortés par l'ouverture, tambours battants, aux niveaux politique, social et économique, ainsi que le retour en force à l'Union Africaine, n'est plus un produit qui se consomme si bêtement, comme auparavant, par les décideurs africains, beaucoup plus accrochés par les thèses marocaines, axées sur le sérieux, la crédibilité de l'analyse, la véracité et la justesse de la position, l'efficience et la viabilité de l'offre gagnant-gagnant, que par la manipulation immonde. Les déclarations impropres des caporaux algérois ne sauraient donc tromper l'opinion publique, puisqu'elles émanent d'un régime en mal de repères. Sa créature fantomatique s'essouffle, depuis que les fonds deviennent de plus en plus rares et les soutiens s'amenuisent, au fil du temps. Ce n'est pas alors étonnant que les hôtes de Gherdaya craquent, à chaque occasion et se donnent libre cours aux plus ignobles des errements pour sauver une peau cernée par les supercheries abominables de plus de quatre décennies. La fin d'une imposture, dirait-on, en clair