Depuis l'événement du nouveau président d'Ibn Zohr d'Agadir, il y a seulement quelques années, l'acte universitaire est en nette ascension, à tous les niveaux. Une vingtaine d'établissements du supérieur ont vu le jour en cours de construction ou encore en étude. Un modèle de d'efficience et de promptitude en matière d'infrastructures de base et d'équipements didactiques, sans parler de qualité du cadre de travail, de formation et de création, au grand bonheur de plus de cent vingt mille étudiants des quatre régions du sud du royaume. Cela c'est du VRAI, à l'œil nu. Mais, L'IVRAIE aux odeurs nauséabondes ne voient pas du même œil toutes ces prouesses qui font le tour du pays voire de plusieurs coins du monde. Pour fustiger le président en question, un certain primitif à la solde des détracteurs de l'université se paie même le luxe, sans vergogne, de s'attaquer à la formation politique dont il affiche l'appartenance. Un autre scélérat d'enseignant ne cesse de vomir des immondices à l'encontre de la gestion de l'université, alors qu'il est pris en flagrant délit de d'escroquerie à l'égard des étudiants abjectement arnaqués. Le VRAI poursuit son bonhomme de chemin pour la promotion de l'action universitaire pour laquelle l'entourage pluriel éprouve entière satisfaction, tandis que l'IVRAIE de débat dans le bourbier du reniement et de la bassesse. Ceci étant, nul ne saurait tolérer cette agression gratuite dont le premier est victime, en dépit des efforts déployés sans compter. Le journaleux discrédité, sans doute tenté par les largesses ses soudoyeurs, se lance dans des balivernes bas. L'accusé, noyé jusqu'au cou dans la dérision dans l'enceinte estudiantine, s'agace terriblement de la performance de son vis-à-vis, depuis la reconduction du président à la tête de l'université Ibn Zohr. Mais, le VRAI persiste aux tempêtes rageuses, alors que l'IVRAIE succombé à la moindre secousse de la vérité.