De quelle levure, l'hôtel de ville d'Agadir, sera-t-il pâté, au terme des prochaines communales ? C'est une question intrigante que ne cessent de se poser aussi bien les avertis que les profanes dans la capitale du Souss. Cette même question ne se posait guère, il y a quelques décennies, dès lors la ville d'AlInbiât était, de tout temps, considérée comme le bastion inconquis d'une formation politique.