Le fait est suffisamment rare en Algérie pour ne pas être signalé. Qu'un chef du parti-Etat, le Front de libération nationale (FLN), s'attaque à un général de l'armée, de surcroit le tout puissant Taoufik Médiène qui détient la réalité du pouvoir, cela peut être ressenti comme un séisme politique à Alger.