Fidèles au quartier «Talborjt» Bien que le transport des voyageurs a été transféré à la nouvelle gare routière sise sur l'avenue Abderrahim Bouabid, un certain nombre d'enfants et autres adolescents sans abri sont restés fidèles à la rue Yacoub El Mansour et au passage piétons adjacent au complexe Sindibad. Un climat de malaise sévit chez les commerçants des parages de l'ancienne gare routière et chez les passants, souvent taquinés (le jour comme la nuit), par ces pauvres paumés. Le malaise des automobilistes La priorité à gauche n'est toujours pas appliquée dans la majorité des carrefours de la ville. Cinq ronds-points en tout et pour tout présentent aujourd'hui cette particularité, ce qui gène nos automobilistes en dépit de la plantation des plaques indiquant la priorité aux véhicules déjà engagés dans le carrefour. Les autorités sont appelées à normaliser ce nouveau système pour la totalité des ronds-points de la ville. Publicité Outre les multiples tableaux d'affichage publicitaire implantés dans le centre ville et la station radio «Plus», certaines entreprises ont trouvé un autre moyen, encore plus intéressant, pour faire connaître leurs produits... Il s'agit de la «pub» sur les taxis. Les entreprises en question exigent toutefois des engins présentables et bien entretenus. Des taxis bons pour la... casse ! S'agissant toujours de ces petits engins, signalons que certains d'entre eux sont dans un état lamentable que ce soit au niveau mécanique qu'au niveau de la garniture et des siéges du véhicule. La responsabilité de l'état de toutes ces bagnoles incombe, selon nos taxis drivers, aux propriétaires eux-mêmes. La fièvre des élections monte déjà ! Certains partis politiques ont organisé ces derniers temps des meetings, que ce soit à la salle de la municipalité ou au théâtre de la verdure. Les observateurs neutres ont qualifié toutes ces rencontres de campagnes avant la lettre. Un riche site laissé-pour-compte La Kasbah d'Agadir, plus connu sous le nom d'Agadir Oufella, est riche sur le plan patrimonial... C'est l'un des sites, sinon le seul, qui marque l'identité et l'histoire de la ville de l'Inbiaât, mais il est malheureusement laissé-pour-compte par nos élus qui nous avaient promis, en l'an 2000, monts et merveilles à Agadir Oufella. C'était à l'occasion du quarantième anniversaire de la restructuration de la ville de l'Inbiaât. Des fanfaronnades de circonstances tout simplement.