Le secteur de l'éducation est de la santé, secteurs socio capital et très important pour le Maroc, ont été, ces dernières années, fortement perturbés à cause de revendication sociale. Si on fait un focus sur l'éducation les revendications et autres restent en suspens, donc non réglés. Avec l'avènement du nouveau gouvernement des raisons d'espoir peuvent être permises. Mais déjà comme annoncé hier, les syndicats annoncent une mobilisation histoire de « mettre la pression » car depuis longtemps ils estiment que les promesses de l'ancienne équipe restent toujours non tenues, aujourd'hui les syndicats ont soulevé 23 dossiers notamment ceux des enseignants contractuels qui a tenu en haleine pour l'année scolaire 2020-2021. Cependant un vent d'espoir semble souffler pour les protestataires, car Chakib Benmoussa le nouveau ministre de l'Education nationale, du préscolaire et des sports à déclarer s'attaque à ce dossier et invite les syndicats à la table du dialogue, un bon point pour le nouveau gouvernement d'Akhannouch. Hier mardi13 octobre lors de la présentation de son programme gouvernemental, le chef du gouvernement Aziz Akhannouch s'était engagé à ouvrir un dialogue social, notamment avec les centrales syndicales de l'enseignement les plus représentatives afin de convenir des procédures et des mesures visant à relever progressivement le SMIC net mensuel en début de carrière, pour les titulaires de certificats de qualification des centres régionaux des métiers de l'enseignement et de la formation. Les déclarations successives du chef du gouvernement et du ministre de l'éducation donnent l'ouverture du dialogue qui sans doute permettra de solutionner les revendications, mieux de calmer la tension afin qu'une fois pour toute l'année scolaire puisse être paisible.