Encore une campagne de propagande visant à ternir l'image du Royaume orchestrée par Forbidden Stories et ses ''partenaires'' parmi les médias français et belges. Mardi 20 septembre 2022, une nouvelle enquête est publiée par ce site dit d'investigation sur une soi-disant expropriation foncière des terres collectives au Maroc, au détriment des intérêts des propriétaires vulnérables. Elle fait les choux gras de France 24, la chaîne de télévision française publique ou encore et du quotidien belge Le Soir, entre autres. Une aubaine pour ces médias qui relèguent au second plan l'actualité brûlante de leurs pays respectifs. Un acharnement de trop qui laisse perplexe car pour parler du Maroc, ces médias et d'autres ne révèlent jamais les chantiers de développement structurants ou les avancées du Maroc. Comme si le Royaume ne réalise point de progrès. Tout est discutable à condition que cette presse ne soit pas dirigée et orientée en dehors des salles de rédaction. Sauf que la réalité corrobore cette partialité flagrante et désolante. La presse française, systématiquement hostile au Maroc, n'informe pas ses lecteurs mais se contente plutôt de servir des agendas purement et vilement politiques. Ils ont une ligne éditoriale figée et des mots clés comme ''Makhzen'', ''monarchie'' et ''spoliation'' qu'ils respectent à la lettre pour ''justifier'' les ''aides'' qui leur permettent de garder la tête hors de l'eau : Pegasus, droits de l'homme, et maintenant les terres collectives. Lire aussi : Soulalyates ou quand Forbidden stories nous fait prendre des vessies pour des lanternes Un moment de vérité et de sagesse s'impose. De prime abord, le sujet des terres collectives est défriché en toute transparence au Maroc, non seulement au sein du gouvernement mais aussi de la société civile et de la presse nationale. Aucune face cachée ou des dessous sensibles comme le prétendent quelques associations comme ATTAC. La réforme des terres collectives enclenchée au Maroc vise à engendrer un développement durable au niveau territoriale, grâce au capital marocain. Le chantier est en cours et des ajustements peuvent être y apportés si besoin est. Mais dès son annonce, cette annonce ne plait pas aux médias français et à Forbidden Stories. Ce n'est pas pour les beaux yeux des soulaliyates, loin s'en faut. Ils défendent la cause du diable, à savoir pérenniser le plus longtemps possible l'hégémonie économique française. Toujours en puisant dans des éléments d'information réchauffés. Et puis, pour ceux qui le méconnaissent, tenez-vous bien, le problème des soulaliyates est un héritage du protectorat français. Un héritage mais aussi une ''cause'' drapée d'intérêts économiques sordides, exploités à outrance et sans retenue avec un matraquage médiatique tel pour cacher avec un tamis une vérité historique. C'est cet Etat profond de l'Hexagone, qui ne se détache pas de son esprit colonialiste délétère, qui a exploité à sa guise, 44 ans durant, les terres tribales, qui, du jour au lendemain, se proclame défenseur des droits des exploitants de ces terres dont elle ne profite plus. Il va falloir que tous ceux qui connaissent l'histoire meurent pour que la France et ses médias à sa solde puissent véhiculer et disséminer leurs vrai-faux messages. Jusque-là (et tant pis pour eux cela n'arrivera jamais !), le donneur de leçons doit d'abord en recevoir.