Quelque 19 fauteurs de troubles, impliqués dans les actes de sabotages qui se sont déclenchés en marge de la manifestation du dimanche 20 février à Fès, ont été traduits mercredi devant la justice, apprend-on de source judicaire. Parmi eux, 13 étudiants en état d'arrestation ont été déférés devant la cour d'appel de Fès, qui a décidé, ce jeudi, de fixer la date de la première audience au 2 mars prochain. Six autres fauteurs de troubles comparaitront le 3 mars devant le tribunal de première instance de la ville. Les mis en cause sont poursuivis, entre autres, pour "participation à une manifestation non-autorisée", "vol qualifié", "destruction de biens publics" et "atteinte à l'ordre public".