C'est la ligne droite pour la clôture de cette troisième et dernière étape des « Futures du Maroc » à 10.000 dollars qui a eu pour cadre le Royal Tennis Club de Mohammédia. Jour « J-1 », donc, avant la grande finale de demain samedi. Etaient, encore, en course jeudi pour ce sprint final, six têtes de série et deux « invités surprises », dont le n°4 national, Younès Rachidi, qui a décroché son visa pour les quarts de finales sur le dos de son compatriote Mehdi Ziadi. Un duel qui a tenu ses promesses et qui était sur les traces d'un troisième set. Seulement, le Ruciste en a décidé autrement en bouclant la boucle en deux manches sur le score de 6/2 et 7/6. Younès devait négocier, hier, sa place pour le dernier carré contre le Suédois et n°4, Markus Eriksson, qui a barré la route au Français Constantin Belot (7/5 – 6/0). De violents sets Toujours pour le compte des huitièmes de finales de mercredi, le n°1 du tableau, l'Algérien Lamine Ouahab, a continué sa chevauchée fantastique en épinglant à son tableau le Russe des « qualifs », Gerlakh, qui a accusé réception de deux violents sets (6/3 + 6/0), pour hériter après du tricolore et n°5 de cette édition, Tak Khunn Wang, qui a fait de même en écartant de son chemin l'Espagnol Garcia Roman. Même constat pour le Finlandais Micke Kontinen qui n'a pas fait de détails en éliminant Yassine Id'Mbarek pour croiser après le fer avec le Suédois Christian Lindell, tête de série n°8, qui a coupé tout espoir à Mehdi J'di. De son côté, le n°2 du tableau, le Suédois Rosenholm, a été le seul à recourir à la manche décisive pour laisser sur le carreau le Français Tristan Lamasine. Hier, il avait à confirmer contre son compatriote (n°6), Isak Arvisson, qui a surclassé, de son côté l'Espagnol Sanjurjo Fermida. Donc, place aujourd'hui aux demi-finales de ces simples où l'armada suédoise devait être en force, pour passer après à la consécration finale des doubles où deux paires marocaines faisaient partie du dernier carré Il s'agit de « Ziadi/Khaddari » et de « J'di/Id'Mbarek » qui n'avaient pas la tâche facile face à de coriaces équipes scandinaves qui partaient avec la faveur des pronostics.