Après la Fondation R. Kennedy, voici Amnesty International qui s'illustre dans la partialité, perdant lamentablement de sa crédibilité, par la faute de certains de ses activistes, entièrement et sans discernement, acquis à des thèses qui ne subsisteraient guère n'était-ce la subversion et la supercherie de leurs auteurs et défenseurs. Il est, ainsi, pour le moins étonnant de voir des ONG à la notoriété internationale et à l'influence étendue sacrifier aux mensonges et faux-fuyants de fabulateurs attitrés pour avoir été à «bonne école en la matière», celle de nos voisins de l'Est, rompus au leurre continental. Des «militants» - émissaires ou de leur propre chef, d'Amnesty International - mus, non pas par la volonté de rendre une image juste et véridique de ce qui se passe dans nos provinces du Sud, mais par l'instinct de complaisance à l'égard de soi-disant « compères « militants des Droits de l'Homme qui ne dupent en cela que des sympathisants aveuglés par un trompe- l'πœil visible à l'œil nu. Alors qu'il est évident que ce sont des mercenaires à la solde d'un pays étranger qui, lui, tire les ficelles. Cette vérité, connue des Marocains et entérinée par tous les observateurs lucides et les hommes - et femmes - politiques aguerris de par le monde, ne doit pas être perdue de vue par les représentants des ONG, lesquelles, en principe, œuvrent pour faire valoir les droits humains et autres environnementaux... Fermer les yeux lorsqu'il s'agit du droit de toute une Nation à préserver son intégrité territoriale et ne les ouvrir que lorsque les adversaires de ce droit et leurs sbires - fauteurs de troubles - se font passer pour les victimes de prétendues exactions, relève de la complicité. Les ONG qui se respectent prennent la distance convenable - et nécessaire - pour que leur jugement ne soit point altéré. Elles ne doivent avoir d'accointances avec aucune des parties en conflit. C'est à ce prix que leurs rapports, crédibles, sont appréciés par les justes et craints par les fau...teurs.