C'est le coach algérien, Aït Joudi qui le dit : « Oui, ce fut un match ouvert ». Non réclament les Wydadis, le MAS a mis du béton sur toute la largeur du quartier Maârif et comment voulez-vous offrir au public du spectacle et autres gooool. 2 points ratés pour le Wydad, les anti-Zaki protestent et n'acceptent pas qu'au moment où le voisin Raja se fait accrocher par les Helalas Boys, les Fabrice, Bobley Anderson, Lys, Bakkary restent « muets » ne profitant même pas de la blessure du titulaire Znati (Anas, tranquillisez-vous, plus de peur que de mal, une langue avalée, heureusement que Dr Feddoul en professionnel est intervenu au bon moment). Une soirée où manquaient les ...buts pour paraphraser Badou. Nous, on ajoute, manquaient aussi les cracks et soulier d'or, on nomme Fettah Ghandour et Moussa Ndaw. Aussi pour se rappeler des terribles chocs nostalgiques de ces WAC/MAS, on citera les talentueux Atik, Hamid Khourag, Lachhabi (ce dernier est en service chez les Jaune et Noir), Naybet, Fakhreddine... Un classico de l'an 2013, les Halhoul, Ba Maâmer, Zekroumi le Rasta, Asbahi, Lemsen et Lys sont là, mais pour passer au score, c'est tout un exercice à effectuer sachant que les 4-4-2, 5-3-2 et tous les schémas du monde bloquent ce « déclic » qui ne peut venir que de l'homme de la dernière passe en partenariat avec le copain qui sait faire la... différence, ce buteur denrée rare. Un gazon tapis, des joueurs qui financièrement ne manquent pas de gagner leur vie paisiblement, un bagage technique et physique; pourtant pour le rythme du match, ce fut un 60 à l'heure et ce n'est pas de cette façon que Aït Joudi ira récidiver les exploits à Rachid Taoussi (3 titres en une année) et que Badou nous fasse oublier les Bénito, Romao, Lozano, Youri ...