GAZON : Mais c'est quoi cette pelouse du complexe sportif Mohammed V jaunâtre et dont on dit qu'elle est quatre « 4 saisons ». Un champ de jeu comme au Moussem Moulay Abdallah, on n'a vu que plus de la poussière … Malus. OULHAJ : Héros indiscutable, Simo ailier gauche, on ne le savait pas, débauche d'énergie, punch, talent et assurance. L'enfant de la villette retrouve sa forme et confiance en ses possibilités. Bonus. PROGRAMMATION : Zéro tout rond, il faut habiter Casablanca pour savoir les spécificités de Dar Beida. Prenez, par exemple, un jeune étudiant qui habite Sidi Bernoussi ou Hay Moulay Rachid, que l'on sache qu'avec cette maudite circulation casablancaise, cela demande un minimun de 3 heures en aller et retour. A cela s'ajoute la fatigue du jour (lundi) et que demain mardi, il faut regagner tôt l'école ou l'usine (Bien dit Abid Laraki). Malus. SALHI : A côté de Simo, l'ex Lafarge, Salhi haut de ses 1, 95 m retrouve le sens du but. Pourvu que ça continue et qu'on le laisse tranquille quand il y a un raté ou deux … Bonu. ROESSLI : Successeur à Talib, on ne voit rien de bon, ni de nouveau chez les Blanco Negra. Un retranchement défensif, le dernier des coachs peut faire ça. Malus. BELMAALEM : Garçon qui s'adapte chez les Verts. Ça nous rappelle un Rossi. Engagement physique et talent y sont mais voilà côté « énervement », ça doit se calmer. Malus. ANIS : Avec Amine Lachheb (d'ailleurs bon), Anis Kamal représente cette tranche de Rajaouis expatriés. Rapide sur son flanc droit, Papa Anis, distingué chez l'OC et ASFA, faisait de même. Bonus. FIDELITE : Par tous les temps, (météo ou passage à vide des Verts), on cite Haj Houri, toujours fidèle et dévoué à une cause. Bonus.