* L'assemblée générale se tiendra le 13 novembre, elle sera assurément très chaude, car il y aura tant d'arguments à débattre et aussi des comptes à rendre. Et dire que durant les deux dernières assemblées générales certains responsables de clubs se soulevaient énergiquement contre des lignes de conduites irrégulières, qu'en sera-t-il cette fois avec une sixième position en championnat d'Afrique ? * Tout le bureau fédéral est contre Allam. Pourquoi ? Il vient de réussir là où personne n'était capable de hisser le beach-volley à ce niveau de renommée mondiale avec un tournoi fantastique à Agadir, regroupant 30 nations. Organisateurs des circuits nationaux et des tournois satellites internationaux, sans aucun apport budgétaire il devait, par conséquent, trouver des voies salutaires auprès des sponsors souvent à la dernière minute pour sauver ses organisations. Cette sérieuse mésentente est-elle pour une question d'organisation ou d'une question de problème budgétaire ? C'est sûr que cette prochaine assemblée générale sera assez chaude. * L'équipe nationale de beach-volley se qualifie pour les phases finales du championnat d'Afrique qui regroupera huit nations, dont nous sommes de loin les plus forts. Nous rappelons que notre pays est trois fois consécutif champion d'Afrique, et c'est pour cela que depuis plus de dix ans aucun pays d'Afrique ne voulait répondre à la quatrième édition. Cette fois, la FIVB prend les choses en main et quelle aubaine, ce championnat d'Afrique est qualificatif pour le championnat du monde et les phases finales des Jeux Olympiques. Bravo Allam, nous vivons avec le beach-volley depuis plus de 15 ans des activités qui ont, à chaque fois, honoré notre pays. * Le championnat national reprendra son cours à partir du 5 novembre. Le point fort du bureau fédéral ce sont les organisations nationales et internationales, cela provient de la très longue expérience acquise par les membres fédéraux. Il est impératif d'organiser une table ronde avec des responsables des clubs, pour une meilleure stratégie à suivre. Maintenant, il n'y a plus aucun doute, après la sixième position en championnat d'Afrique, il est clair et net que notre niveau en volley-ball est très bas, et il faut chercher le remède auprès, en premier lieu, des clubs de la division excellence, car gérer un championnat national sans stratégie ne fera qu'engloutir d'avantage notre position sportive à l'échelon africain.