En raison de la vague de chaleur que connaît notre pays, le Comité d'organisation a décidé, avec l'accord du juge-arbitre, l'Egyptien Khaled El Sergany, de ne faire jouer les rencontres qu'à partir de 15 h 00 et se termine sous les projecteurs selon trois tranches à savoir : 15 h 00, 17 h 30 et 19 h 00. Presque tous les courts disposent, désormais, d'un éclairage conforme aux normes internationales. Juste avant le tournoi, on a procédé au remplacement des ampoules de tous les projecteurs et on a revu en baisse la hauteur des mâts-supports. Ces courts qui ne connaissent pas de répit. En effet, après l'Open 2011 (voir L'Opinion du lundi), on a enchaîné avec ce « Futures » (6ème Sikaki) qui atteint, ce mercredi, le stade des huitièmes de finales en simples et les quarts de finales en doubles. Du tennis non-stop pour meubler ces soirées « cheminots » qui méritent le détour. Ils étaient quinze (15) nationaux à prendre part au tableau des qualifs qui avait à son bord 48 candidats pour les 8 places qui étaient en jeu. Seul Mehdi Ziadi a pu sortir indemne pour rejoindre le tableau final. De son côté, le Cofiste Mohamed Adnaoui fut stoppé au dernier tour par le n° 1 du tableau le Hollandais Vervoort. Le juge-arbitre de l'Open 2011, Mohamed Esghir, a réussi, avec brio, son entreprise où il n'a rien laissé au hasard tout en calmant parfois les nerfs de certains joueurs et même des parents dont le comportement dépassait l'éthique sportive. Les deux finalistes du « Futures » de l'ACSA, en l'occurrence l'Italien Viola Matteo et le Suisse Michaël Lammer ont fait l'impasse sur l'étape des Cheminots au même titre que certaines têtes de série qui ont été poussées par la chaleur à regagner dare-dare l'aéroport Mohammed V. En plus, aucun Italien ne fait partie du tableau final.