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Télégramme
Publié dans L'opinion le 17 - 05 - 2010

Après l'euphorie, la pénurie. Où sont passés les camions qui traversaient la ville de Témara, chargés d'arbustes, qui ne demandaient pas tant de déplacement pour rien ? On les a exhibés comme des objets de curiosité avant de les rendre dans les pépinières qu'ils n'auraient jamais dû quitter.
C'était bien la peine de remuer ciel et terre à l'occasion de la journée de la terre, pour retrouver en fin de compte des allées déséchées et des chemins balisés. stop.
Ce que des insatisfaits, des jamais contents et autres casse-pieds n'ont pas réussi à faire, le site « You Tube Alik » a réussi à le faire sans déployer des banderoles. De hauts responsables jetés à la vindicte, ne savent plus quoi faire. Ils laissent passer la caravane en supportant les aboiements des chiens lâches. Pour les gosses à la recherche d'une photo de leur idole ou d'un nouveau correspondant, You Tube jette en pâture des décideurs qui n'ont aucun pouvoir pour arrêter la machine dévastatrice.
Même les fonctionnaires qui se tiennent à carreau, sont poussés par leurs collègues pour voir si leur patron y est… Quand on voit flane et flana traîné dans la boue électronique, on se demande qu'est-ce qu'il reste à écrire … Enfin, si certains font tout pour mériter le lynchage, d'autres sont victimes de jugements hâtifs, peu responsables et pas du tout citoyens. stop.
On savait que l'argent n'a pas d'odeur mais on ne savait pas que le discours écologiste peut rimer avec business.
Le procédé du lavage-écolo des voitures n'occasionne aucune gêne, ni agression paysagère, soit-elle sonore ou hygiénique, répète-t-on auprès de Vireo. « Nous intervenons à moins d'un litre d'eau, sans le moindre rejet de composant nocif, ni d'eau souillée sur le lieu de lavage », affirme Hicham El Bayed, DG associé de Vireo Maroc. L'entreprise utilise des produits à base d'agrumes, d'argile et d'huiles essentielles, 100% biodégradables. Ces substances contiennent des détergents et des agents mouillants (biodégradables) produisant une émulsion qui enrobe la saleté et la décolle de la carrosserie, sans aucune rayure. Ces produits qui ont un effet antistatique permettent également de récupérer l'excédent, réduisant ainsi la consommation d'eau à moins de 1 litre (l'eau contenue dans les produits à la base comprise).
Résultat du tiercé : l'écologie qui a commencé par des slogans d'anthologie, sans fric ni tic, prend des tournures avec moutures qui défendent d'abord le revenu bien maintenu. stop.
« Modernité et perspectives de la critique de la raison arabe » est le thème retenu pour une rencontre philosophique qui aura lieu le 22 courant à Fès, en hommage à l'éminent penseur et philosophe marocain que fut Mohamed Abed Al-Jabri.
L'association des amis de la philosophie, initiatrice de cette rencontre, a invité des philosophes, des universitaires et des hommes de lettres pour passer au crible quelques-uns des grands moments ayant marqué la vie de cet intellectuel, dont la notoriété a dépassé les frontières du monde arabe.
Sans entrer dans les partis pris, disons que dans leurs papiers annonçant le décès de Mohamed Abed Al-Jabri, certains - rares - sont revenus sur son passage dans le Parti de l'Istiqlal, d'autres – par ignorance ? – ne l'ont pas signalé. Il n'y a qu'un seul parcours et une seule bio dans la vie de ce spécialiste contemporain de la pensée dans le monde arabe et islamique.
Sa principale œuvre reste « La critique de la raison arabe » (naqd al-aql al-arabi – 1984), publiée en quatre volumes : « la formation de la raison arabe » (1984), « la structure de la raison arabe » (1986), « la raison politique arabe » (1990)  et « la raison éthique arabe » (2001). stop.
Il finira par se faire ce Maghreb qui tarde à suivre l'exemple du vieux continent qui supprime les frontières et les barrières. Maintenant, ceux qu'on attendait le moins sont les premiers en ligne.
C'est-à-dire les dirigeants d'entreprises qui l'ont prouvé lors du 2ème Forum des hommes d'affaires maghrébins qui s'est tenu à Tunis El Khadra les 10 et 11 mai. Malheureusement, nos envoyés spéciaux et nos correspondants sur place n'ont ramené que les déclarations du boss de la CGEM Mohamed Horani et le grand argentier du pays qui se sont rendus au Forum. L'idéal aurait été de nous rapporter ce que nos partenaires tunisiens et algériens ont dit dans les couloirs en marge des travaux et en aparté – il y a eu des réunions à deux ! – parce que si c'est pour nous confier à chaque fois les mêmes sons de cloche, on ne sortira pas des sentiers battus. stop.
Le courant passe entre les journalistes de la province de Sidi Bennour, un beau patelin, et le nouveau gouverneur Jalaleddine Merimi qui porte la tenue traditionnelle avec classe comme s'il l'a toujours portée. Voici ce qu'il a dit vendredi dernier dans sa rencontre avec les hommes de presse :
« Je ne suis pas censé répondre de toutes vos avances car elles sont légitimes, mais il convient de rappeler que je ne suis pas obligé non plus de les partager, cependant, j'en tiendrai compte. Vous savez, la communication, il n'y en a pas plus important dans une ambiance qu'on voudrait solidaire et synergique. Je suis conscient, très conscient des handicaps qui continuent à sévir et il est insensé de croire que seule l'institution du gouverneur pourrait en venir à bout ».
Conclusion : voici venu le temps d'écouter tous ceux qui ont des choses à dire, quel que soit leur rang. stop.
Clotilde Reiss, retenue depuis 10 mois et demi en Iran, a quitté dans la nuit du samedi à dimanche Téhéran pour Dubaï d'où elle a rejoint la France. La nouvelle a évidemment fait le tour de la planète. Mais ce qui a déclenché un déclic dans la tête des lecteurs de flashs sur Internet, c'est la précision de l'heure où le communiqué a été rendu public : Un dimanche matin à 6 heures… Il y en a qui ne font pas de grâce matinée, même un dimanche. stop.
Titre à la une du journal du patronat : « Chinois : combien au Maroc ? ». Comme ça, titre « harfi » où on ne parle ni de communauté chinoise ni de présence chinoise à Casa ou Taza. Non, « Chinois » comme on aurait pu dire « chinoui ». Le même support aurait-il un titre pareil pour parler de Turcs ou de Portugais ? Il y a des formules à l'emporte-pièce qui ne trompent pas. stop.
Mawazine 2010. Maroc-Cultures, en pleine déconfiture, publie les photos de Santana Harry Conners, et Julio, le gendre préféré des grands-mères, et jamais la photo du chanteur par qui le scandale arrive à cause de ses boucles d'oreille. Pas de quoi être gai. stop.
Rumeurs à donner des tumeurs. A Rabat, des bruits courent sur une prétendue vente d'un hôtel au centre ville. Renseignement pris à la source : il n'en est rien et n'en a jamais été question. Question : qui est derrière ces rumeurs et quel intérêt ?, se demandent des professionnels. stop.
Selon l'Association française des usagers des télécommunications (AFUTT), les problèmes de facturations représentent 23% des plaintes reçues en 2009 dans le secteur du téléphone mobile. La contestation d'appels ou l'utilisation de numéros surtaxés constituent la moitié de ces réclamations. Mais près d'un cinquième des contestations concernent l'application du forfait. L'ambiguïté des contrats occasionne des frais que le client n'avait pas anticipés.
Les forfaits dits illimités qui comprennent l'émission d'appels de SMS et l'accès à Internet peuvent réserver de mauvaises surprises.
Heureusement ça ne se passe pas « chi nous », aurait dit Najat Aâtabou. stop.
Parlant de la Marina, un membre de l'Agence de l'Aménagement de la vallée du Bouregreg (AAVB) : « Son positionnement sur le fleuve Bouregreg lui permet d'être à l'abri des vagues atlantiques, toujours redoutées par les plaisanciers », tellement à l'abri des vagues qu'on a l'impression que c'est calme et qu'il ne s'y passe pas grand' chose… stop.
Come back, chantait Depeche Mode et Paul Young. C'est aussi le refrain de Fatima et Horace pour reprendre leur restaurant mythique à côté de l'hôtel Tour Hassan. Une cuisine italienne pleine de fraîcheur et de trouvaille. Il faut dire qu'elle a retrouvé ses clients depuis sa réouverture comme Layla du Crépuscule relooké qui revoit les anciens revenir.
Conclusion : Rabat peut faire confiance aux dames que la nuit ne décourage pas, comme à Postdam à Berlin où la ville palpite 24h sur 24… stop.
Le Privé a réussi sa formule, petite bouffe qui calme les petits creux entre deux pas de danse. Ça va faire des envieux dans le milieu des oiseaux de nuit qui se regardent en chien de faïence. stop.


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