C'est El Batouli du WAC qui nous rappelle cette situation où les clubs en déplacement à Casa pour jouer, soit le Wydad (nous on ajoutera aussi le Raja), optent, sans préavis, à un recul défensif à presque 100%. 11 joueurs en défense et comme arme, cette ruse nommée contre-attaque, les Slaouis forment un modèle et tous les autres, alors, de vouloir rééditer l'exemple de Aziz Khyati. Un spectacle qui devient alors un ...gâchis. Les différents coachs s'en «footent» carrément. Sauver sa peau, devient l'objectif N° 1 de l'entraîneur qui n'hésiterait pas à reconstruire le mur de ....Berlin. «Idiot, serait cet entraîneur qui vient à Casa et qui va ouvrir le jeu. Moi, Jodar, évitant tous les soucis du monde, je ne pouvais pas m'aventurer davantage. D'ailleurs je compte dans mes rangs beaucoup de joueurs blessés et puis pour jouer jeu égal avec le WAC, il faut du potentiel pour le faire ». Un match dominé par les Red avec tout de même des contres meurtriers signés ce diable de Gerard qui fit voir de toutes les couleurs à Lemyaghri et plus tard , Fegrouch ( bon rétablissement au keeper Wydadi , Nadir , qui durant toute sa carrière n'a jamais connu de choc pareil ). La leçon du soir était de mieux faire comprendre à nos joueurs que rester remplaçant n'est pas une ...insulte. Aït Laârif et Lys deux remplaçants de luxe , sitôt libérés par Zaki , sitôt ajoutèrent ce plus + nécessaire qui mit le virage Frimija en ébullition et calma les esprits chagrins. Deux balles touchées par le Congolais, il mit une dans les filets Soussis. Quelle efficacité et quel opportunisme sachant que l'autre fois face à l'ASFAR avec un total de 22 « ocases'» ( c'est Zaki qui rappelle cette bizarroïde ) Lys et ses amis avaient tout raté . Une victoire « Aspro » ; chacun de nous sait que les ambitions de la tribu des rouges sont énormes et se nourrissent de son Histoire, sa popularité et son ...futur. Un futur qui ne jure que par les bons résultats et c'est comme ça que la pression devient .... pressing. Voir le Wydad en haut du tableau du classement , il y a unanimité mais de grâce ; assez de zizanie en ces jours de « Aaouchers » . Le Wydad qui doit gérer techniquement ses sorties face aux DHJ, RCA ou le MAT ; un autre adversaire se dresse, il prend source dans le clan «anti Zaki » . Badou qui rappelle le cri d'un certain Louzani qui l'a dit en direct : « c'est la rue qui commande »; 15 ans plus tard, rien de change. « L'adversaire du Wydad, c'est son environnement. Bonne fête.