Le représentant du Maroc auprès des Nations Unies Omar Hilale a démasqué le vrai visage de la pseudo-militante des droits de l'Homme Sultana Brahim Khaya. Une polisarienne chargée de missions subversives dans le Sahara marocain. Détails. "Depuis quand les militants de droits de l'Homme portent-ils des uniformes militaires et des Kalachnikovs", s'est demandé ironiquement Omar Hilale, en évoquant la pseudo-militante autoproclamée Sultana Sid Brahim Khaya. Laquelle est assignée actuellement à résidence surveillée pour ses actions séditieuses. Au moment où l'Algérie et les relais médiatiques du polisario s'efforcent de mener une offensive médiatique présentant Khaya comme l'icône du militantisme des droits de l'Homme" pour apitoyer la communauté internationale, le représentant du Maroc à l'ONU a tenu à dévoiler, preuves à l'appui, la vrai identité de cette personne. Loin d'être une innocente militante, il s'agit d'une femme enrôlée dans les rangs du polisario et entraînée à l'usage des armes dans les camps de Tindouf. "Cette personne n'a jamais été une militante pacifique mais une activiste du groupe séparatiste du polisario", a martelé le diplomate marocain, tout en se demandant ce que fait une supposée militante avec une kalachnikov à la main. En effet, Omar Hilale a dévoilé au Conseil de Sécurité des photos de la femme en tenue militaire et portant la fameuse arme russe. En se déguisant en militante de droits de l'Homme pour duper la communauté internationale, Sultana Brahim Khaya s'est livrée à des activités séditieuses dans les provinces du Sud, en incitant à la violence contre les forces de l'ordre et les civils. Ceci lui a valu d'être assignée à résidence, vu les troubles à l'ordre public qu'elle a provoqués. Les tentatives du polisario d'instrumentaliser les droits de l'Homme pour promouvoir le séparatisme au Sahara ne trompent plus la communauté internationale. Le Conseil de Sécurité des Nations Unies a reconnu, dans sa Résolution 2602, les efforts du Royaume dans la protection des droits de l'Homme au Sahara. Omar Hilale répond ainsi aux nombreuses fake-news qui, de façon diffamatoire, accusent le Maroc de porter atteinte à ces droits. Ces accusations fallacieuses sont souvent relayées par des médias algériens dont l'Agence officielle de presse (APS) qui a publié tout un tas de dépêches pour présenter Sultana Khaya comme une victime d'agression, alors qu'elle n'est qu'un agent de subversion déployé par le polisario sur le sol marocain.