Le Conseil national des droits de l'Homme (CNDH) a annoncé dans un tweet que le gouvernement a décidé d'abandonner le pass vaccinal en faveur du pass sanitaire. Détails d'une décision applaudie par le CNDH. Le Conseil national des droits de l'Homme (CNDH) s'est félicité dans un tweet de la décision du gouvernement de mettre en place un pass sanitaire à la suite d'une lettre adressée en octobre 2021 au chef du gouvernement où le Conseil recommande de remplacer le pass vaccinal par un pass sanitaire. Cette substitution trouve d'ores et déjà sa place sur le site officiel Liqahcorona, dédié au téléchargement du pass sanitaire. Cette décision a été également vivement saluée par les défenseurs des droits de l'Homme qui l'ont conçue comme le signe indicateur de la réaction positive du gouvernement à l'effervescence des revendications sociales. À l'instar du pass vaccinal, le pass sanitaire permet à son détenteur d'accéder aux endroits publics, semi publics, privés et de se déplacer entre les villes sans attestation de déplacement. À noter que le nouveau document sanitaire est une preuve indiquant qu'un citoyen, soit il a été vacciné, a été testé négatif, a guéri du virus ou dispose d'un certificat médical prouvant une certaine contre-indication à la vaccination. Le ministère de la Santé a signalé que les citoyens ayant des contre-indications à la vaccination peuvent désormais soumettre une demande d'exemption de vaccination auprès de la Délégation régionale. Une commission médicale se chargera du traitement des dossiers médicaux qui lui sont soumis et donnera suite aux demandes d'exemption.