Le Forum de soutien aux autonomistes de Tindouf (Forsatin) met à nu le chef du Polisario. Les preuves fournies suffisent pour envoyer Brahim Ghali non seulement devant l'Audience nationale espagnole, mais même devant le Tribunal pénal international. En ces temps encore plus difficile de pandémie, trouver quoi manger dans les camps de Tindouf devient une gageure. Les quelques bruits qui parviennent à s'échapper de ces prisons à ciel ouverts parlent d'une véritable catastrophe humanitaire passée sous silence. Pour ne pas mourir de faim, les séquestrés dans ces camps de la honte comptent uniquement sur quelques dons internationaux, devenus encore plus rares après la fermeture des frontières au niveau mondial. Pire, le peu de ce qu'il en reste est détourné et vendu, au prix fort, par Brahim Ghali et ses mercenaires faussement galonnés. Dans sa dernière alerte, le Forum de soutien aux autonomistes de Tindouf (Forsatin) confirme que même en ces temps de pandémie, Ghali et son entourage détournent encore les aides, notamment espagnoles, menaçant ainsi de famine l'écrasante majorité des séquestrés. Grâce à ces vols, le chef du polisario continue de s'engraisser. Il a cumulé, selon la même source, une fortune colossale. Ce n'est pas tout, Forsatin retient contre Brahim Ghali ces autres preuves * La fortune de Brahim Ghali est tellement indécente qu'il ne s'est même pas soucié des 200 millions de dinars algériens qui lui ont été dérobés par son neveu. * Brahim Ghali et son frère Ali Ould Sayed Al Mustapha détournent d'énormes quantités de carburant qu'il revendent en toute impunité dans le nord de la Mauritanie. * Vivant en nabab, le chef du polisario, indument riche, s'est remarié 23 fois et entretient un vaste harem. * Ses enfants vivent dans les avions et poursuivent des formations dans de prestigieuses écoles internationales, au moment où la jeunesse sahraouie se morfond dans le dénuement et la marginalisation. * Brahim Ghali utilise une armées de jeunes sahraouies pour piéger ses opposants dans des scandales sexuels. * Brahim Ghali a construit le premier logement en dur à Tindouf et à Mheriz. * Son épouse est souvent au volant de véhicules flambants neufs et son fils n'hésite pas à réquisitionner des véhicules militaires. * Brahim Ghali militarise les enfants sahraouis et exempte ses proches