Dans son communiqué, l'AMDV se réjouit de se voir citée dans certaines déclarations parmi les ONGs nationales et internationales active dans la défense des droits humains. Toutefois, en réitérant son ferme engagement à poursuivre son combat ayant permis de briser le tabou sur les droits des femmes victimes de harcèlement, d'agressions et d'abus sexuels, cette association, présidée par l'avocate Aïcha Guellaa, s'indigne face à la politisation qu'elle affirme relever dans des rapports de certaines ONGs internationales. Posted by AMDV on Wednesday, May 11, 2022 Citant nommément RSF, l'AMDV s'étonne de voir cette association classer l'Algérie au 146e rang dans son dernier rapport sur la liberté de la presse, en faisant bondir ce pays de 12 rangs d'un coup, même si les journalistes y souffrent le martyre. L'ONG note en revanche que le Maroc est passé dans le même classement de la 135e à la 136e place... L'AMDV soupçonne RSF, de la même façon qu'elle le fait pour Amnesty International, de tomber dans un militantisme mercantiliste des droits humains. «Nous dénoncerons de telles pratiques à chaque fois que nous les relèverons», prévient l'ONG marocaine.