Sur les 25 fédérations auditées, 11 sont jugées défaillantes. D'ailleurs, elles étaient exclues de la réunion qu'a eue mercredi à Rabat Rachid Talbi Alami, ministre de la Jeunesse et des sports, avec 14 autres jugées comme étant de bons élèves. Lors de cette réunion, des recommandations ont été formulées et leur application est un préalable pour habiliter les fédérations sportives conformément à la loi 30-09 et à ses textes d'application.
Comme dans chaque examen, il y a les bons et les mauvais élèves. Dans l'examen de l'audit financier et organisationnel de 25 fédérations lancé il y a deux mois par le ministre de la Jeunesse et des sports, seules 14 fédérations ont réussi plus ou moins ce test. Elles étaient conviées mercredi à une réunion de travail avec Rachid Talbi Alami, ministre de la Jeunesse et des sports. Lors de cette réunion, des recommandations pour assurer une bonne gestion ont été formulées aux fédérations et leur application est un préalable à leur habilitation conformément à la loi 30-09 et à ses textes d'application. D'après les informations qui ont fuité de cette réunion, Rachid Talbi Alami aurait signifié aux présidents des 14 fédérations que son département ne signera de contrat d'objectif qu'avec les fédérations habilitées.
Quid des mauvais élèves L'audit épingle 11 fédérations : basketball, handball, volleyball, canoë-kayak, hockey, tennis de table, sport boule, rugby, cricket, tir à l'arc et badminton. Certes, aucune information n'a encore filtré sur les irrégularités recensées par les cabinets d'audit, mais le fait d'être exclu de la réunion de mercredi laisse libre court à plusieurs interprétations. Rachid Talbi Alami a choisi de les réunir à part pour les informer des irrégularités relevées et surtout les exhorter à suivre les règles de bonne gouvernance. La situation des fédérations intéresse également l'hémicycle puisque le groupe parlementaire socialiste a interpellé le ministre de la Jeunesse et des sports en demandant à la présidente des secteurs sociaux de la Chambre des députés de convoquer une réunion pour discuter des résultats de l'audit de 25 fédérations sportives. D'ailleurs, elles étaient exclues de la réunion qu'a eue mercredi à Rabat Rachid Talbi Alami, ministre de la Jeunesse et des sports, avec 14 autres jugées comme étant de bons élèves. Lors de cette réunion, des recommandations ont été formulées et leur application est un préalable pour habiliter les fédérations sportives conformément à la loi 30-09 et à ses textes d'application.
Comme dans chaque examen, il y a les bons et les mauvais élèves. Dans l'examen de l'audit financier et organisationnel de 25 fédérations lancé il y a deux mois par le ministre de la Jeunesse et des sports, seules 14 fédérations ont réussi plus ou moins ce test. Elles étaient conviées mercredi à une réunion de travail avec Rachid Talbi Alami, ministre de la Jeunesse et des sports. Lors de cette réunion, des recommandations pour assurer une bonne gestion ont été formulées aux fédérations et leur application est un préalable à leur habilitation conformément à la loi 30-09 et à ses textes d'application. D'après les informations qui ont fuité de cette réunion, Rachid Talbi Alami aurait signifié aux présidents des 14 fédérations que son département ne signera de contrat d'objectif qu'avec les fédérations habilitées.
Quid des mauvais élèves L'audit épingle 11 fédérations : basketball, handball, volleyball, canoë-kayak, hockey, tennis de table, sport boule, rugby, cricket, tir à l'arc et badminton. Certes, aucune information n'a encore filtré sur les irrégularités recensées par les cabinets d'audit, mais le fait d'être exclu de la réunion de mercredi laisse libre court à plusieurs interprétations. Rachid Talbi Alami a choisi de les réunir à part pour les informer des irrégularités relevées et surtout les exhorter à suivre les règles de bonne gouvernance. La situation des fédérations intéresse également l'hémicycle puisque le groupe parlementaire socialiste a interpellé le ministre de la Jeunesse et des sports en demandant à la présidente des secteurs sociaux de la Chambre des députés de convoquer une réunion pour discuter des résultats de l'audit de 25 fédérations sportives.