Au Qatar, Belges et Allemands ont décidé de profiter du Mondial pour promouvoir la cause des homosexuels. Pendant ce temps, les marocains débarquent en famille, avec les mamans et les papas. En occident, la famille et les valeurs familiales ne sont plus le fondement sur lequel la société est construite. Des tendances à la destruction de la famille traditionnelle se sont délibérément propagées sous la couverture d'une guerre démographique qui vise la réduction de la natalité. Dans le reste du monde, notamment en Russie et dans le monde arabo-musulman, la mission consiste à résister aux tendances indiquées en défendant la famille traditionnelle. La Nationalmannschaft LGBTiste Onze joueurs allemands mimant un bâillon contre l'interdiction de manifester en faveur de la diversité, c'était l'une des images de ce début de Mondial-2022 au Qatar pour l'occident. Une image totalement éclipsée par celle montrant Achraf Hakimi embrassant la tête de sa maman ou Sofiane Boufal dansant sur la pelouse avec la sienne. Avec ce geste, la "Nationalmannschaft" a décidé de provoquer le monde arabo-musulman sur ses terre. Seulement, après ce geste qualifié spectaculaire par les Diables rouges qui ont posé avec le maillot arc en ciel avant d'affronter le Maroc, l'Allemagne a vécu la plus grande désillusion de ce Mondial face au Japon, vainqueur (2-1). La Belgique, a quant à elle, essuyé sa première défaite contre un pays africain (2-0 contre le Maroc) qui a précipité son départ du Qatar. Dans les tribunes, la ministre allemande de l'Intérieur, chargée des Sports, Nancy Faeser, a enfilé le fameux brassard inclusif "One Love" dont ne voulaient pas les organisateurs. Elle sera copiée par son homologue française, Amélie Oudéa-Castéra qui a porté un pull bleu avec les épaules et les manches aux couleurs de l'arc-en-ciel, lors du quart de finale qui a réuni la France à l'Angleterre Les Lions de l'Atlas et les valeurs familiales Pendant ce temps, le Maroc continue son parcours exceptionnel avec une baraka certaine qu'on doit largement à la bénédiction des parents présents sur place. Entre émotions et joie d'y être, les familles des Lions de l'Atlas accompagnent leurs protégés avec les prières et abordent cette demi-finale avec confiance. "C'est incroyable, c'est inimaginable. Je rêve encore, je suis toujours en train de dormir dans ma tête. C'est impressionnant. J'en ai pleuré. Je n'ai jamais vu ma mère sourire comme ça. Son fils en demi-finale de la Coupe du monde, c'est impressionnant. Il représente le pays. Et ma mère en pleure tous les jours" a confié Abdeltif, frère de Sofiane Boufal dans un entretien accordé à RMC Sport. "C'est quelque chose de magique qui nous arrive. On est en demie. Il faut savoir que, dans notre culture, la famille est très importante. Que la Fédération ait pris l'initiative de nous inviter ici, c'est justement pour soutenir nos enfants au niveau du moral. Ça leur donne du punch", ajoute Karima El Khannouss, la maman de Bilal, jeune prodige ayant choisi la tanière des Lions de l'Atlas aux dépens du manoir des Diables rouges. "On espère rester jusqu'à la fin, on y croit tous. Le but de toutes les familles ici, c'est de ramener la coupe. On y croit fortement. On a de bons joueurs, je pense qu'on peut y arriver", a ajouté Karima El Khannouss.