Le ministère de l'Intérieur a catégoriquement démenti l'implication d'un quelconque corps des appareils de sûreté et de renseignement dans « les allégations » du journaliste Ali Anouzla, dans lesquelles il affirme avoir fait l'objet d' »une campagne de rumeurs et d'intimidations visant sa personne et accuse les services de sûreté placés sous la tutelle directe du Roi d'y être impliqués pour le combattre ». « Dans le but d'éclairer l'opinion publique », le ministère affirme, dans un communiqué parvenu lundi au Soir échos, que « ces allégations, colportées par certains sites électroniques, sont dénuées de tout fondement et de la moindre preuve pouvant établir leur véracité », ajoutant que « la diffusion des rumeurs ne relève pas de son ressort et de ses attributions ayant trait à la préservation de l'ordre public ».