Le département de Mezouar vient de publier sa note de conjoncture pour l'année 2010. Un document de 22 pages qui souligne les principales évolutions des secteurs clé pour l'économie marocaine. Un constat général plutôt positif. La reprise économique était bien au rendez-vous en 2010. Tel est le constat que l'on pourrait facilement faire à la lecture de la dernière note de conjoncture publiée par le ministère des Finances. En effet, dans ce document de 22 pages, rendu public le 15 février dernier, le ministère fait état d'une «légère hausse» de la consommation de ciment en 2010. Ainsi, celle-ci a repris durant le mois décembre 2010, enregistrant une progression de 41,7% par rapport au mois précédent et de 31,4% par rapport au mois de décembre 2009. Durant le mois de novembre, la consommation de ciment avait accusé une baisse de 22,7% en glissement mensuel, en raison de l'arrêt de l'activité des chantiers de construction à l'occasion de l'Aïd Al Adha. De ce fait, les ventes de ciment réalisées durant le quatrième trimestre 2010 ont quasiment stagné (-0,4%) en glissement annuel, clôturant ainsi l'année 2010 sur une légère hausse de 0,4% par rapport à 2009. La croissance a également concerné la production et la consommation d'électricité. Dans sa note de conjoncture, le ministère des Finances qualifie de «soutenue» cette croissance à fin novembre 2010 et justifiant cela par une «bonne tenue de l'activité économique». Ainsi, la production d'électricité a enregistré une croissance de 6,1% en glissement annuel après une hausse de 3,8% à fin novembre 2009. Une accélération de la production d'électricité due essentiellement au renforcement de l'énergie thermique et hydraulique de 33,7% et de 16,6% respectivement, au détriment des importations d'énergie électrique en provenance d'Algérie qui ont fléchi de 12,4%. Quant à la consommation d'électricité, elle s'est améliorée de 5,8% en glissement annuel après une hausse de 3,1% un an auparavant. Ceci est principalement le résultat de l'accroissement aussi bien des ventes de très haute, haute et moyenne tensions (+5,3%) que de celles de basse tension (+8%). Dans le même contexte d'énergie, l'activité du raffinage a clôturé l'année 2010 sur des résultats positifs : augmentation de 17,5% par rapport à 2009 du volume de pétrole mis en œuvre, soit 5,5 millions de tonnes. Les services à forte V.A au vert Avec 1,4 milliard de DH chiffre d'affaires à fin septembre 2010 (en augmentation de 14% en glissement annuel), le ministère des Finances qualifie le comportement de la Poste de «bon». A titre de rappel, les investissements réalisés par cette activité ont atteint, durant l'année dernière, quelque 476 millions de dirhams, soit une hausse de 18,1% par rapport à l'année d'avant. Les trois principaux segments du secteur des télécommunications ont également réalisé de bonne performances puisqu'ils ont «clôturé l'année 2010 sur une évolution positive», explique la note de conjoncture. Le chiffre d'affaires du secteur des télécoms devrait tourner autour de 35,6 milliards de DH en 2010, soit une progression de 6% par rapport à 2009. Puisque l'on ne peut plus parler des télécommunications sans évoquer la filière des centres d'appels, le ministère des Finances n'a pas oublié de souligner l'évolution enregistrée par les centres d'appels installés au Maroc durant l'année 2010 : les recettes générées par l'activité se sont chiffrées à 4,2 milliards de DH à fin décembre 2010, soit un accroissement de 22,6% par rapport à 2009. D'autres secteurs, au vert, ont également été abordés dans la note de conjoncture. Côté échanges de biens, le déficit commercial n'a cependant enregistré aucune amélioration pour l'année 2010. Une «quasi-stagnation» a été observée, puisque les échanges ont dégagé un déficit commercial de 151,3 milliards de DH après un déficit de 151 milliards en 2009, soit un léger creusement de 0,2%. Une situation qui résulte essentiellement de l'allégement du déficit commercial au niveau des demi-produits, des produits bruts et finis, etc. La reprise économique était bien au rendez-vous en 2010. Tel est le constat que l'on pourrait facilement faire à la lecture de la dernière note de conjoncture publiée par le ministère des Finances. En effet, dans ce document de 22 pages, rendu public le 15 février dernier, le ministère fait état d'une «légère hausse» de la consommation de ciment en 2010. Ainsi, celle-ci a repris durant le mois décembre 2010, enregistrant une progression de 41,7% par rapport au mois précédent et de 31,4% par rapport au mois de décembre 2009. Durant le mois de novembre, la consommation de ciment avait accusé une baisse de 22,7% en glissement mensuel, en raison de l'arrêt de l'activité des chantiers de construction à l'occasion de l'Aïd Al Adha. De ce fait, les ventes de ciment réalisées durant le quatrième trimestre 2010 ont quasiment stagné (-0,4%) en glissement annuel, clôturant ainsi l'année 2010 sur une légère hausse de 0,4% par rapport à 2009. La croissance a également concerné la production et la consommation d'électricité. Dans sa note de conjoncture, le ministère des Finances qualifie de «soutenue» cette croissance à fin novembre 2010 et justifiant cela par une «bonne tenue de l'activité économique». Ainsi, la production d'électricité a enregistré une croissance de 6,1% en glissement annuel après une hausse de 3,8% à fin novembre 2009. Une accélération de la production d'électricité due essentiellement au renforcement de l'énergie thermique et hydraulique de 33,7% et de 16,6% respectivement, au détriment des importations d'énergie électrique en provenance d'Algérie qui ont fléchi de 12,4%. Quant à la consommation d'électricité, elle s'est améliorée de 5,8% en glissement annuel après une hausse de 3,1% un an auparavant. Ceci est principalement le résultat de l'accroissement aussi bien des ventes de très haute, haute et moyenne tensions (+5,3%) que de celles de basse tension (+8%). Dans le même contexte d'énergie, l'activité du raffinage a clôturé l'année 2010 sur des résultats positifs : augmentation de 17,5% par rapport à 2009 du volume de pétrole mis en œuvre, soit 5,5 millions de tonnes. Les services à forte V.A au vert Avec 1,4 milliard de DH chiffre d'affaires à fin septembre 2010 (en augmentation de 14% en glissement annuel), le ministère des Finances qualifie le comportement de la Poste de «bon». A titre de rappel, les investissements réalisés par cette activité ont atteint, durant l'année dernière, quelque 476 millions de dirhams, soit une hausse de 18,1% par rapport à l'année d'avant. Les trois principaux segments du secteur des télécommunications ont également réalisé de bonne performances puisqu'ils ont «clôturé l'année 2010 sur une évolution positive», explique la note de conjoncture. Le chiffre d'affaires du secteur des télécoms devrait tourner autour de 35,6 milliards de DH en 2010, soit une progression de 6% par rapport à 2009. Puisque l'on ne peut plus parler des télécommunications sans évoquer la filière des centres d'appels, le ministère des Finances n'a pas oublié de souligner l'évolution enregistrée par les centres d'appels installés au Maroc durant l'année 2010 : les recettes générées par l'activité se sont chiffrées à 4,2 milliards de DH à fin décembre 2010, soit un accroissement de 22,6% par rapport à 2009. D'autres secteurs, au vert, ont également été abordés dans la note de conjoncture. Côté échanges de biens, le déficit commercial n'a cependant enregistré aucune amélioration pour l'année 2010. Une «quasi-stagnation» a été observée, puisque les échanges ont dégagé un déficit commercial de 151,3 milliards de DH après un déficit de 151 milliards en 2009, soit un léger creusement de 0,2%. Une situation qui résulte essentiellement de l'allégement du déficit commercial au niveau des demi-produits, des produits bruts et finis, etc.