La multinationale marocaine HPS, leader dans le domaine de l'édition des solutions de paiement électronique multi-canal, vient d'élargir la liste de ses pays partenaires. Après, le Japon, le Canada, l'Allemagne, la Malaisie, la Suisse, ainsi que d'autres pays non moins importants, HPS vient de décrocher un contrat sur le marché latino-américain. En effet, la société marocaine vient de signer un contrat avec Empresa Brasileira de Tecnologia (Embratec). Cette dernière est l'une des firmes leader dans la fourniture des services autour des cartes de paiement. Ce contrat permettra, ainsi, à HPS l'ouverture sur de nouvelles opportunités en particulier sur le marché brésilien ainsi qu'au niveau régional dans le continent sud-américain. « le Brésil est la porte d'entrée privilégiée vers toute l'Amérique Latine, région pour laquelle il sert de référence en matière de nouvelles technologies » A travers ce partenariat avec Embratec, HPS pénètre dans l'un des marchés émergents les plus dynamiques. Selon un communiqué de l'entreprise marocaine, le Brésil est la porte d'entrée privilégiée vers toute l'Amérique latine, région pour laquelle il sert de référence en matière de nouvelles technologies. C'est aussi un marché très important qui offre d'excellentes opportunités, notamment pour les entreprises spécialisées dans les nouvelles technologies de paiement électronique. En d'autres termes, la société de Mohamed Horani compte, à travers ce contrat, tirer profit des multiples opportunités d'affaires qu'offre cette région dynamique et en pleine expansion. Aux termes de ce contrat, Embratec utilisera désormais la solution phare d'HPS « PowerCard ». Celle-ci permet d'assurer une gestion flexible et innovante de l'ensemble de ses services autour des cartes de paiement, telles que l'émission et le traitement des cartes de crédit revolving et des cartes prépayées et la gestion des réseaux commerçants, lit-on sur le communiqué. Il est à noter qu'HPS compte actuellement plus de 100 sites utilisant sa solution PowerCard et qui assurent le traitement de plus de 300 institutions (banques, institutions financières, opérateurs télécoms…). Rappelons que le Brésil, peu impacté par la crise économique internationale, fait partie des pays du BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine).