Souvent qualifiées de grosses fabriques pour chômeurs, les universités publiques cherchent à se donner les moyens pour adapter leurs offres de formation aux besoins du marché de l'emploi. Plusieurs établissements se rêvent en incubateurs pour jeunes diplômés prêts à l'emploi. Une mission qui n'a rien d'un long fleuve tranquille. L'enseignement supérieur privé séduit de plus en plus d'étudiants. Toutefois, si les établissements publics ont la mauvaise réputation de fabriques de chômeurs, ils ont toujours la cote auprès des apprenants. Pour... Besoin de lire cet article réservé aux abonnés ? Visionnez une courte vidéo publicitaire ou abonnez-vous ! OU Je m'abonne Déjà abonné ? Connectez vous Nom d'utilisateur ou adresse e-mail * Mot de passe * afficher le mot de passe Mot de passe oublié ? Se souvenir de moi Ce formulaire vous redirigera vers une autre page une fois soumis.