Les parlementaires sont sceptiques face aux ambitions gouvernementales en matière de promotion de la formation professionnelle, surtout en ce qui concerne l'adaptation du secteur aux exigences du marché de l'emploi. Ils doutent aussi de la capacité du secteur privé à absorber des dizaines de milliers de lauréats, alors que le taux de croissance demeure faible. Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition disponible en kiosques, ou en version e-Paper