Les parquets des différents tribunaux ont commencé à convoquer les propriétaires des sites électroniques pour leur signifier d'adapter leurs situations juridiques aux exigences de la nouvelle loi relative à la presse et à l'édition. Les directeurs de publication sont ainsi tenus de produire les documents requis avant l'entrée en vigueur de cette loi, prévue en août prochain. Le ministère de la Culture et de la communication, Mohamed Laaraj, a affirmé qu'il y plus de 10.000 sites anonymes, alors que seuls 2.500 sont déclarés au parquet.