En dépit d'une cohésion parfois fragile, les membres de la coalition gouvernementale ont pu mener le mandat à bon port. Durant les cinq dernières années, cette cohésion a, d'ailleurs, été mise à rude épreuve par de nombreux écueils politiques, dont la plus importante a été le départ de l'Istiqlal et l'arrivée du RNI en 2013. À l'heure du bilan, la règle du «chacun pour soi» met à nu les ambitions diverses des différents alliés durant les cinq dernières années. Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition disponible en kiosques, ou en version e-Paper