«Je ne suis ni opposant ni inconditionnel. Je suis pour la critique professionnelle et je soutiens, comme le client final, qu'un cinéaste a le droit le plus absolu de choisir les thèmes de ses films ainsi que l'approche technique de traitement. Les 20 premières minutes du film «Zine li fik» recèlent un effort que le spectateur avisé ne pourrait rater. La caméra s'approche pour mettre en exergue la féminité des personnages d'un film qui traite d'un sujet très sensible. Et la sensibilité monte d'un cran quand on tombe dans le piège du ressassement d'une même idée, d'une manière donnant une sensation de lassitude. Nabil Ayouch a essayé d'esquisser les portraits des actrices principales de son film, sans réussir à produire les sensations cinématographiques fortes attendues par le spectateur». Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition du jeudi 28 mai, disponible en kiosques, ou en version e-Paper