Contrairement au nouveau statut des régions, la loi organique des communes n'a pas réussi à séduire l'ensemble des groupes parlementaires sous la coupole. Le projet, qui a été adopté à la majorité, n'a pas été accepté par les 4 groupes de l'opposition qui ont mis en avant le manque d'audace du gouvernement dans la mise en œuvre des principes de démocratie locale et surtout le maintien du pouvoir discrétionnaire de la tutelle. Durant la séance plénière de jeudi dernier, plusieurs dispositions jugées phares ont été rejetées, en attendant l'avis des conseillers qui auront l'occasion de se prononcer sur le projet avant la fin de ce mois de mai. Les dispositions les plus litigieuses ont essentiellement concerné l'étendue des marges de manœuvre offertes aux dirigeants des communes. Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition du lundi 18 mai, disponible en kiosques, ou en version e-Paper