Le retour des Tortues Ninja sur grand écran est possible grâce à Jonathan Liebesman. Rendez-vous avec Leonardo, Michelangelo, Raphaël et Donatello à partir du 15 octobre. Tenez-vous prêts : quatre héros de légende vont bientôt faire parler d'eux à New York... Leonardo, le leader, Michelangelo, le beau gosse, Raphael, le rebelle et Donatello, le cerveau, vont tout faire pour défendre la ville de New York, prise entre les griffes de Shredder. Entre deux dégustations de pizzas (sans anchois, bien sûr) et un entraînement intense aux arts martiaux, prodigué par leur maître Splinter, ils vont accomplir leur destin, aidés par la courageuse reporter, April O'Neil. Adaptées d'une bande dessinée de Kevin Eastman et Peter Laird, les aventures des célèbres tortues ninja avaient déjà donné lieu à une trilogie de films parus entre 1990 et 1993 (Les Tortues ninja, Les Tortues ninja 2, Les Tortues ninja 3) et un film d'animation sorti sur les écrans en 2007. Ninja Turtles vient ici relancer la franchise, en y apportant une nouvelle fraîcheur et des effets spéciaux modernes. C'est d'ailleurs le premier film de la saga à être réalisé en 3D. Dans le comic book, c'est une mutation qui permet au quatuor formé par Donatello, Raphael, Michelangelo et Leonardo d'acquérir une forme et une intelligence humaines, mais pour cette nouvelle adaptation, le producteur Michael Bay a affirmé que l'origine des tortues sera extraterrestre. Une déclaration qui a vite suscité l'indignation des fans de la franchise. Le réalisateur de la saga Transformers peut néanmoins compter sur le soutien du co-créateur des tortues, Kevin Eastman, qui approuve cette théorie et précise que si les tortues ne sont pas d'origine extraterrestre. Papa rock'n'roll... «Papa was a rolling stone» est une adaptation à l'écran d'un roman que l'auteur, Sylvie Ohayon, décide de mettre elle-même à l'image. Sortie prévue pour le 8 octobre. Dans les années 80, Stéphanie grandit à La Courneuve auprès d'une mère absente et d'un beau-père brutal. Très vite, elle décide de s'extirper de son quotidien morose. Grâce à l'amour de sa grand-mère, à ses lectures, sa passion pour la danse et pour Jean-Jacques Goldman, elle se débat dans cette cité colorée où l'amitié est primordiale. Un jour, elle le sait, Stéphanie quittera la cité pour mener la vie dont elle a toujours rêvée. Le film raconte l'histoire de cet envol. Un film inspiré du livre autobiographique de la réalisatrice. «Papa Was Not a Rolling Stone» est une adaptation du roman du même nom de Sylvie Ohayon paru en 2011. L'auteure a choisi de réaliser le long métrage elle-même (c'est sa première réalisation). Pour ce faire, elle a coécrit le script avec Sylvie Verheyde. Si la notoriété des Rolling Stones n'est plus à démontrer, le père de Stéphanie (et donc de Sylvie Ohayon), lui, n'est pas aussi connu que les papys rockeurs, puisqu'elle ne l'a jamais rencontré. D'où le titre «Papa Was Not a Rolling Stone», qui fut par ailleurs conseillé à la réalisatrice par un ami. Il s'agit également d'une référence indirecte à la chanson «Papa was a rolling stones», du groupe de musique soul The Temptations. Côté acteurs, la jeune Doria Achour qui incarne Stéphanie est entourée de grands habitués du cinéma, tels que Aure Atika, Marc Lavoine ou encore Sylvie Testud. Pour le reste du casting, des jeunes premiers ont été castés «à la sauvage», c'est-à-dire qu'ils ont été approchés au détour d'une rue. «Je souhaite former une troupe de jeunes talents, des révélations de la rue», précise la réalisatrice.