À l'heure de la prolifération universelle de l'inflation et du rapetissement crescendo du pouvoir d'achat, y compris dans des contrées naguère prospères, le taux de croissance, depuis la fin des «Trente glorieuses», ne constitue plus en soi un indicateur éloquent de la bonne santé d'une économie. Au vu d'une matrice de comptabilité sociale (MCS) altérée, une croissance non inclusive ne peut constituer un facteur de bien-être au sein d'un environnement macroéconomique quelconque. Depuis la crise financière de 2008 et surtout après les effets sociaux de la pandémie de 2019, tous les organismes internationaux, FMI lui-même en tête, ont placé la croissance... La suite de cet article est réservée à nos abonnés. Lire cet article en ligne à 5DH Découvrir nos offres d'abonnement Déjà abonné? Je me connecte