«Le couteau est arrivé jusqu'à l'os» et il ne reste plus aux autorités qu'à engager l'épreuve de force pour sauver nos villes et nos routes d'un chaos certain. C'est que tout le monde semble «sous perfusion» danger face à ces chauffards de la mort conduisant rageusement des autobus en périmètre urbain ou des autocars sur les grandes distances, sources de tous les dangers. Ces conducteurs sauvages sont coupables du désordre dans les circulations et déplacements publics et sont répréhensibles pour les risques mortels qu'ils font courir à leurs passagers et aux piétons. Si l'hécatombe se poursuit sur nos routes, ce sont eux les premiers responsables des sinistres spectaculaires et des chutes apocalyptiques dans les ravins. Tandis que dans les villes, les bus sont une réelle menace à la vie des citoyens pour leur excès de vitesse, leur conduite à la «rodéo» et leur négligence d'entretien qui n'est pas sans provoquer de graves incendies à bord de ces carcasses ambulantes et de cette ferraille fatale. Ce n'est pas un nouveau code de la route dont ils ont le plus besoin, mais d'un véritable «code d'emprisonnement dans des centres de rééducation aux comportements civils élémentaires» !