« Tout le monde est en quête de la vérité ! N'est ce pas ? Des vérités concernant tout, absolument tout... Mais les atteindre toutes reste quelque chose loin de notre portée... » De nature, on cherche à savoir tout, de déchiffrer toutes les réalités, tout ce qui est caché, ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas, et ce dès la période de notre petit age marqué par une forte jalousie, durant laquelle on souhaite connaître soi-même, découvrir ce qui nous entoure (images, personnes, mouvement, sentiments, corps... etc.), et tout ceci et bien encore en quête indirecte de vérité dans toute chose... Ensuite, et en franchissant le cap de la spiritualité et de la religion, d'autres questions persistantes ont naissance en parallèle, concernant cette fois notre sens de vie, notre créateur, la logique humaine, le jugement dernier... Et encore en grandissant, d'autres questions d'autre genre s'imposent, comme les questions de la compréhension des Jeux politiques, du bon et mauvais destin (travail, études, calamités...), les questions de l'autocritique, celles du social et de la société. Tout un bagage de questions infinies, dont la majorité est déchiffrée par le biais de notre parcours d'études, ou via les expériences de la vie ou encore, par la recherche et la lecture, ainsi que les jurisprudences personnelles. Ces éléments, une fois combinés, nous font comprendre et savoir certaines vérités, et ce, compte tenu des premiers déchiffrages acquis par la famille (parents et frères notamment), dont les coutumes et les habitudes, qui même si on apprend le pourquoi de ces habitudes, le comment reste incompréhensible pourtant (exemple : nos mères ou grands-mères nous interdisent de jouer avec les ciseaux (ouvrir et fermer) justifiant cela par le fait que ce mouvement attire les problèmes dans la maison par la suite ; bien ! Comme ça on a compris pourquoi ils nous interdisent de faire cela et d'autres actes, notamment que certaines choses se réalisent vraiment en réalité après peu de temps, mais pas toujours. Ceci nous est expliqué encore une fois par le sixième sens dont on dispose chacun, mais je le répète le mécanisme qui agit ici n'est jamais expliqué logiquement : c'est-à-dire comment ce sixième sens sort de son cadre sentimental interne ou externe vers la réalité. Cependant, Dieu, lorsqu'il a créé le cerveau humain dans ce monde, le lui a attribué des qualités de réflexion de capacité et d'incapacité ; autrement dit, Dieu nous a créé et a donné à notre cerveau des qualités de capacité d'atteindre et de comprendre certaines vérités, et en parallèle, nous a donné l'incapacité et nous a inhibé d'atteindre d'autres... On aboutit alors que notre cerveau est limité, malgré tout ce développement et progrès qu'on a pu atteindre, et qui n'est en fait, que la partie de capacité humaine que Dieu a autorisé à l'esprit humain d'atteindre (exploration de l'espace, compréhension de certains phénomènes naturels, compréhension de la vie humaine en partie, analyse des jeux politiques et du comportement et réactions humaines, progrès de la médecine...) , mais d'autres vérités ne pourront jamais être atteintes, ou comprises, même certaines choses concernant l'être humain. Finalement, et afin de clarifier cette notion d'inexistence de vérité absolue et complète à 100%, je vous propose ces deux exemples : 1. Deux amis qui sont intimes, et se croient tout savoir l'un sur l'autre n'est généralement vrai que d'un pourcentage de 80 à 90%, et reste un petit pourcentage de vérités (soit familiales, ou personnelles) non révélé et jamais révélé ; ce sont des secrets entre soi-même, et son créateur. 2. Quand on réfléchit à l'existence et la formation de ce monde, qu'est ce qu'on trouve ? Dieu a créé l'univers premièrement, c'est-à-dire, il y avait un point de départ, disons bien une base, sur laquelle notre créateur nous a donné vie, mais si on pense par transcendance, quand Dieu était là, où est ce qu'il se trouvait alors qu'il n'avait pas encore créé ni ciel, ni planètes, ni matière, ni esprit, ni univers ?? Une question de réponse introuvable, car l'esprit de l'humain se trouve en train de tourner autour d'un vrai cercle de réflexion fermé, que sa logique et ses capacités ne peuvent pas dépasser en aucun cas. Donc, le grand philosophe Hegel avait raison lorsqu'il affirmait selon sa dialectique qu'il n y a pas de vérité absolue, et que cette dernière ne peut être atteinte que peut être après la fin du monde, et n'on peut conclure nous aussi que le fait que la vérité est ailleurs...