Facebook, le plus grand réseau social du monde, virtuel bien sûr. Il a été créé par un étudiant pour un seul motif qui est la vengeance. Le plus drôle, c'est que ce réseau à travers lequel on peut avoir des milliers d'amis, a fait son premier pas vers le succès au détriment d'une relation amicale réelle. Pour faire gagner son projet, le fondateur a laissé tomber son meilleur ami qui a toujours était là pour lui. Actuellement, tout le monde sait que Facebook est le moyen de communication et de partage le plus utilisé mondialement. On peut remarquer clairement son implication dans notre vie quotidienne. Il est utilisé par les politiciens, les commerçants, les prêtres, Fkih, la société civile pour faire circuler leurs idées. Cependant, la raison majeure pour laquelle Facebook est utilisé c'est les relations humaines. A travers Facebook, vous pouvez retrouver un ami, vos anciens camarades de classe, un voisin qui a déménagé sans laisser de traces,…ou encore quelqu'un qui vous plait et vous a échappé. Il suffit seulement de lui envoyer une demande d'amitié, chose qu'on ne peut jamais faire en réalité. Une fois la demande est acceptée, le lien d'amitié est établi. Et voilà ! La personne fait partie de votre réseau, classée dans votre liste d'amis qui ne cesse d'augmenter. Des amis qui sont là rien que pour aimer une vidéo que vous avez publiée, commenter votre photo ou vous envoyer un « poke ». En réalité, Facebook ne fait que favoriser l'hypocrisie sociale. Vos ami(e)s « Facebookites » ne vous montrent que leurs meilleurs « Faces ». Ils vous félicitent si vous changez de statut de « célibataire » en « marié(e) » même si vous ne les avez pas invités, ils vous concilient si vous mentionnez que vous êtes triste sans même savoir qu'est ce qui vous arrive. Dans la vie virtuelle 100 personnes montrent qu'ils sont là pour vous alors qu'en réalité vous n'êtes entouré que par une ou deux personnes ou parfois même aucune. En conclusion, Facebook est une entreprise qui réalise des chiffres d'affaires grâce à nous, simples consommateurs.