L'armée algérienne, sous la direction "scénaristique" du général en couches" chef d'état-major de l'ANP, le sénile du Muppets show made in Algeria, Chengriha, semble avoir trouvé un nouveau terrain de jeu aux abords du Maroc, transformant les sables du désert en une scène grandiose d'exercice militaire avec munitions réelles. Imaginons un peu le tableau : Chengriha, figure pittoresque, jonglant entre ses responsabilités de chef d'état-major et son rôle autoproclamé de maître illusionniste d'une nouvelle manœuvre militaire algérienne. Une saga digne des meilleurs feuilletons ! On dirait que le scénario était écrit pour un blockbuster : un mur de sable érigé à la hâte, probablement avec plus d'ambition que de précision, servant de cible à un déluge de feu et d'acier, orchestré non sans un "certain panache". Le casting ? Les habitués des opérations militaires algériennes, avec une apparition spéciale des séparatistes du polisario et peut-être même des figurants inattendus du Hezbollah, dans un rôle qui reste à préciser. Cette représentation spectaculaire n'est pas sans rappeler ces films dans lesquels les effets spéciaux sont si visiblement artificiels que le public peut à peine retenir un sourire. Les véhicules militaires utilisés, éclaboussés de rouille, semblent tout droit sortis d'une exposition d'antiquités plutôt que d'une caserne moderne, contribuant malgré eux à un charme rétro que les modernes armées du monde évitent soigneusement. Et que dire des clichés de haute résolution qui ont fuité ? Ils soulèvent des interrogations sur la prétendue supériorité de cette armée qui se veut la meilleure d'Afrique, tout en dévoilant sans le vouloir les coulisses d'un régime où la corruption semble aussi endémique que le théâtre est omniprésent. Le timing de cet exercice n'est pas anodin non plus, survenant juste avant l'exercice « African Lion » mené conjointement par le Maroc et les États-Unis. Comme si notre scénariste principal cherchait à montrer qu'il pouvait lui aussi produire un spectacle grandeur nature, bien que la critique puisse suggérer que le produit final ressemble davantage à une parodie vraiment maladroite qu'à une démonstration de force. Dans cette épopée où la réalité et la mise en scène se confondent, on peut se demander si l'objectif est réellement de préparer l'armée à des défis réels ou simplement de jouer à un jeu de mirages dans le désert, où chaque manœuvre sert plus à impressionner un public interne qu'à menacer un voisin qui observe, probablement amusé, ce théâtre d'ombres. Et tout cela nous conduit à une réflexion : dans le grand théâtre géopolitique, les acteurs jouent souvent des rôles écrits bien à l'avance par des scénaristes invisibles, où la frontière entre la réalité et la fiction devient aussi floue que les lignes dans le sable du désert. Dans ce vaste théâtre donc, où les démonstrations de force tiennent à la fois du drame et de la comédie, près des frontières du Maroc, le général en couches s'est lancé dans une mise en scène grandiose : Un désert transformé en plateau de tournage, où des troupes armées jusqu'aux dents jouent leur partition dans un ballet de munitions réelles. L'exercice récent, décrit par des médias algériens et divers témoignages, semble moins un entraînement militaire qu'une production hollywoodienne à petit budget, où chaque explosion est destinée à impressionner un auditoire tant national qu'international. Dans ce contexte, ces manœuvres militaires près du Maroc sont perçues comme un acte de théâtre politique, destiné à unir le peuple algérien derrière des dirigeants qui peignent un ennemi commun à leur porte. Le choix de ce théâtre ouvert près des frontières marocaines n'est pas fortuit. Il intervient à un moment où les tensions régionales sont palpables, et où chaque manœuvre est scrutée comme le préambule d'un développement plus dramatique. Ce contexte géopolitique, où le Maroc et l'Algérie évoluent souvent en opposition, offre un arrière-plan idéal pour des démonstrations militaires que certains pourraient lire comme des provocations. Selon des données circulant dans les couloirs de l'ONU, les dépenses militaires algériennes auraient atteint des sommets, malgré une économie postpandémie qui peine à redémarrer. Ces investissements en matériel souvent dépassé soulèvent des questions sur les véritables bénéficiaires de ces dépenses d'apparat. Dans un pays où la jeunesse chôme et manifeste, ces déploiements de force semblent être une réponse incongrue aux aspirations sociales et économiques des citoyens. Enfin, à l'heure où le monde observe, l'exercice mené par le marionnettiste d'Alger et son pantin préféré peut être interprété de diverses manières : comme un signal de force, un acte de défiance ou, plus cyniquement, comme une diversion spectaculaire d'une administration qui cherche à consolider son pouvoir interne en jouant la carte nationaliste. Cela dit, en faisant retentir les échos du combat, les généraux algériens tentent de montrer une puissance militaire qu'ils souhaitent perçue comme « intimidante » par leurs voisins. Au Maroc, la réaction se caractérise par une sage retenue, doublée d'une résolution inébranlable.