Ci-après les principaux titres développés par la presse nationale de ce samedi 23 janvier 2021 Le Matin : Dakhla Oued Eddahab : la transformation digitale au service de l'attractivité et de la compétitivité territoriale. Le Centre régional d'investissement (CRI) de Dakhla Oued Eddahab et la Fédération des technologies de l'information, des télécommunications et de l'Offshoring (APEBI) ont signé, récemment à Dakhla, un mémorandum d'entente pour booster la digitalisation au niveau de la région et accroître l'attractivité et la compétitivité territoriale. Signé par le directeur du CRI de Dakhla-Oued Eddahab, Mounir Houari, et le vice-président de l'APEBI, Mehdi Alaoui, ce mémorandum d'entente vise à identifier de nouvelles niches du secteur de l'Offshoring, favoriser la création de synergies et proposer un dispositif d'accompagnement dédié aux acteurs de l'écosystème régional. Cet accord s'inscrit également dans le cadre d'une démarche active de régionalisation pour le développement accéléré des écosystèmes de l'Offshoring et du digital au niveau local et la confirmation de la perle du Sud comme destination de choix pour ce secteur. Entraînement en mer : deux stagiaires commandos de la Marine Royale portés disparus. Deux stagiaires commandos de la Marine Royale sont portés disparus après avoir été emportés par de très forts courants marins lors d'un entraînement en mer, le 20 janvier, au large de Ksar Sghir, apprend-on vendredi de source militaire. Des stagiaires commandos de la Marine Royale ont été emportés par de très forts courants marins lors de cet entraînement et certains d'entre eux ont pu regagner la côte marocaine avec l'assistance des garde-côtes et des zodiacs de la Marine Royale, précise la source, ajoutant que quatre stagiaires ont été déclarés portés disparus. Deux parmi ces derniers ont réussi à regagner la côte espagnole à la nage, dans les vagues houleuses d'une mer agitée, faisant preuve d'une indéniable bravoure et d'un degré élevé de professionnalisme, fait savoir la même source. Libération : Casablanca: le consentement et la discorde représentent 97% des demandes de divorce. Les statistiques du tribunal social de première instance de Casablanca ont révélé que les cas de divorce par consentement mutuel ou pour raison de discorde ont représenté, en 2020, plus de 97% du total des demandes enregistrées par ladite juridiction concernant la dissolution du contrat de mariage, dont le nombre s'est élevé à 15.956 actes. Le procureur du Roi près cette juridiction, Malika Achkoura, a souligné dans une déclaration à la MAP, que malgré les conditions difficiles liées à l'épidémie du nouveau coronavirus, le tribunal a rendu son jugement dans 99,3% des demandes de divorce par consentement, qui ont totalisé 5.394 affaires, outre l'examen de 65% de divorces pour raison de discorde, dont le nombre s'est établi à 10.119 affaires. Recul de l'abandon scolaire. La saison scolaire 2019-2020 a connu une baisse significative du nombre d'élèves ayant abandonné l'école dans les trois cycles de l'enseignement, s'élevant ainsi à moins de 55.200 élèves, a indiqué le ministre de l'Education nationale, de la formation professionnelle, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Saaid Amzazi. « Le pourcentage des élèves ayant abandonné l'école entre les années scolaires 2018-2019 et 2019-2020 est passé de 2,7% à 2,1% dans l'enseignement primaire, de 12,1% à 10,4% dans l'enseignement secondaire collégial et de 8,8% à 7,4% dans l'enseignement secondaire qualifiant », a expliqué le ministre lors d'un exposé sur les secteurs de l'éducation, de la formation et de l'enseignement supérieur, présenté devant la Commission de l'enseignement, de la culture et de la communication à la Chambre des représentants. Amzazi a par ailleurs indiqué que le nombre des établissements d'enseignement au titre de l'année scolaire 2020-2021 a atteint 11.487, dont 6.309 en milieu rural (55%), en plus de 13.155 écoles satellites, ajoutant que le nombre des internats est de 924 au niveau national, dont 575 en milieu rural. Assahraa Al Maghribiya : Les amis du Maroc dans l'UE doivent adopter une position de soutien à l'initiative d'autonomie à l'instar des Etats-Unis. Les amis du Maroc dans l'Union européenne doivent adopter une position de soutien à l'initiative marocaine d'autonomie, à l'instar des Etats-Unis, a souligné l'Ambassadeur du Maroc en République tchèque, Mme Hanane Saadi. Lors d'une visioconférence sur « la politique américaine au Moyen-Orient et en Afrique du Nord », organisée par le Centre des relations transatlantiques de Prague, Mme Saadi a affirmé que les amis du Maroc dans l'Union européenne doivent prendre l'initiative de développer une position en faveur du plan d'autonomie à l'instar des Etats-Unis, indique vendredi un communiqué de l'ambassade du Maroc en République tchèque. Au cours de cette rencontre à laquelle ont notamment pris part le Directeur du Centre des relations transatlantiques de Prague, l'ancien ministre tchèque de la Défense et des Affaires étrangères Alexandr Vondra, l'ambassadeur d'Israël en République tchèque, Daniel Meron et le député européen Jan Zahradil, la diplomate marocaine a rappelé la déclaration conjointe signée entre le Maroc, les Etats-Unis et Israël en particulier en ce qui concerne la reconnaissance des Etats-Unis de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur l'ensemble de son Sahara, la reprise des relations diplomatiques avec Israël et la réaffirmation de la position constante du Royaume sur la question palestinienne. Rissalat Al Oumma : Sahara : Affaibli à l'UA, Alger tente de mobiliser ses derniers « amis », sa déception est grande. Affaibli à l'Union africaine (UA), Alger tente de mobiliser ses derniers « amis » dans l'espoir de retrouver des marges de manœuvre sur le dossier du Sahara, mais sa déception est grande, écrit le site d'information français « Afrique intelligence ». « Le ministre des Affaires étrangères algérien Sabri Boukadoum a visité les rares capitales encore pro-Polisario en Afrique dans l'espoir de retrouver des marges de manœuvre sur le dossier sahraoui. Sa déception est grande », relève le site. Si le ministre algérien a réussi à avoir deux points faisant référence au Sahara dans un communiqué conjoint publié à la suite de sa visite le 12 janvier à Pretoria, il en était autrement dans d'autres capitales africaines, révèle « Afrique intelligence ». Al Ittihad Al Ichtiraki : La Chambre des représentants et la Faculté de droit d'Agdal renforcent leur partenariat. La Chambre des représentants et la faculté des sciences juridiques, économiques et sociales (FSJES) de Rabat-Agdal ont signé une convention de partenariat visant l'ouverture de la faculté sur son environnement, particulièrement sur l'institution législative. Signée par le président de la Chambre des représentants, Habib El Malki et le doyen de la FSJES de Rabat-Agdal, Farid El Bacha, cette convention s'inscrit dans le cadre de l'accord de partenariat conclu en janvier 2020 entre la Chambre des représentants, le ministère de l'Education nationale, de la Formation professionnelle, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et les établissements d'enseignement supérieur et de la recherche scientifique. S'exprimant à cette occasion, El Malki a souligné qu'il s'agit d'un partenariat très important qui offre l'opportunité à la FSJES de Rabat-Agdal et à la Chambre des représentants de s'ouvrir sur leur environnement. « Nous allons déployer les efforts nécessaires et travailler avec le comité chargé du suivi de cet accord à partir du mois prochain, pour mettre ce sujet au cœur des intérêts de la Chambre des représentants », a-t-il assuré. Al Massae : Les membres de la Commission des infrastructures, des énergies, des mines et de l'environnement à la Chambre des représentants ont approuvé à l'unanimité le projet de loi 71.18 relatif à la police portuaire. Nombre d'amendements ont été introduits au texte initial présenté par le ministre de tutelle, Abdelkader Amara, dans le cadre des changements structuraux du secteur portuaire. Ce projet de loi vise à accompagner les nouveaux standards et normes adoptés dans le domaine de la police portuaire à l'échelle internationale, ce qui permettra aux ports marocains de se doter d'un cadre juridique efficient et efficace pour faire face aux défis imposés par les changements internationaux.